vendredi 25 septembre 2020

La paranoïa chez les antisémites....


VINCENT Reynouard tellement à l’écoute de ses propres fantasmes qu’il n’est plus capable d’observer sereinement la réalité ; on peut aussi lui faire observer qu’il est parfaitement conscient de l’inanité de son inquiétude et qu’il cherche seulement, dans le cadre d’une stratégie hautement sophistiquée, à dédouaner le régime Nazi de ses turpitudes.... 

Nous pouvons constater une aggravation de ses symptômes dans cet article publié sur son compte GAB le 22 septembre 2020 : Status / Gab Social


L ´ombre du Mossad 😂

"Les gens qui me connaissent le savent : je ne suis absolument pas paranoïaque. Je vis normalement, sous mon vrai nom, sans prendre aucune mesure de sécurité. 

Voilà pourquoi lorsque je rentre chez moi, je me contente de claquer la porte et d'accrocher la clé à un crochet mural, sans donner un tour de clé supplémentaire qui bloquerait la poignée. Car pour ouvrir la porte de l'extérieur, il faut introduire une clé dans la serrure (la poignée fonctionne « dans le vide »).


Voilà trois semaines environ, sortant de chez moi, je me suis aperçu que la poignée était bloquée. Vivant seul, je me suis dit : « Tiens, j'ai dû donner un tour de clé par inadvertance ». A vrai dire, je n'y croyais guère ; car quand je rentre, je ne remets jamais la clé dans la serrure, je l'accroche tout de suite au crochet mural. En cinq ans, d'ailleurs, je n'avais jamais trouvé la poignée bloquée. Mais l'éventualité d'une « visite » nocturne me paraissait incroyable. 


Or, samedi dernier, partant au petit matin à Londres pour y donner des cours, j'ai constaté que la poignée était encore bloquée. La veille au soir, j'avais fait des courses et quand je reviens chargé, j'accroche d'autant plus vite la clé au mur sans effectuer une autre manœuvre... Je suis donc CERTAIN de ne pas avoir bloqué la poignée. 


J'en conclus que par deux fois ces trois dernières semaines, des inconnus ont pénétré chez moi, la nuit, durant mon sommeil. En ressortant, ils ont donné un tour le clé que je ne donne jamais. 

Qu'ont-ils fait ? Je l'ignore. Car une vérification rapide ne laisse apparaître aucune disparition suspecte. S'il s'était agi de vulgaires cambrioleurs, ils auraient volé au moins mon ordinateur, mon téléphone et mon porte-monnaie. J'en déduis que ces gens voulaient autre chose. 


Je note que la première intrusion s'est produite peu après l'affaire du graffiti révisionniste à Oradour. Faut-il y voir un rapport ? C'est possible car voilà une vingtaine d'années, j'ai donné des cours à un adolescent dont la mère travaillait comme inspecteur de Police. Elle savait qui j'étais.

Un jour, je lui racontai que lors de la première perquisition réalisée chez moi en 1990, l'inspecteur en chef avait directement été chercher dans la pile de papiers où je cachais l'original du tract révisionniste poursuivi. Or, il s'agissait de papiers scolaires et, dans les étagères, il y avait au moins six piles hautes d'une dizaine de centimètres. J'avais alors manifesté ma surprise de le voir trouver si vite. « On a du flair » m'avait-il répondu. Cette explication ne m'avait pas convaincu. 

Après que je lui aie raconté cette anecdote, la femme m'expliqua que la Police opérait des perquisitions illégales chez des suspects : « On se procure les passes et cela permet d'accélérer les enquêtes. ». 

Voilà pourquoi l'hypothèse de l'intrusion nocturne me paraît plausible. .


Cela ne m'empêche pas de dormir (c'est le cas de le dire !) Car je n'ai rien à cacher et je n'ai pas commandité le graffiti d'Oradour."

VINCENT Reynouard

                           BTA.

Ps : Pense à prendre tes cachets petit Vincent .

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