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lundi 1 avril 2024

Fin de partie pour Jérôme Bourbon

 



Communiqué de presse : Le 20 mars dernier, Jérôme Bourbon, le directeur de publication de Rivarol comparaissait devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris.

par l'Observatoire Juif de France le 


Le mercredi 20 mars 2024, Jérôme Bourbon, le directeur de publication de Rivarol comparaissait devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris pour trois affaires distinctes, suscitant une attention particulière de la part de l’Observatoire Juif de France (OJF).

Les accusations portées contre M. Bourbon incluent des allégations d’homophobie, de contestation de crimes contre l’humanité et de provocation à la discrimination.

Au terme d’une audience tendue, le procureur de la République a requis une peine de 18 mois de prison ferme, assortie d’une amende de 15 000 euros. Malgré les tentatives de défense, aucune forme d’aménagement de peine n’a été envisagée, ce qui souligne la gravité des accusations portées contre M. Bourbon.

De plus, l’OJF réclame des dommages et intérêts à hauteur de près de 30 000 euros, en plus de trois publications judiciaires aux frais du condamné dans des journaux nationaux renommés. Ces exigences démontrent la fermeté avec laquelle nous combattons l’antisémitisme et toutes les formes de discrimination.

En outre, le vice-président du RN, M. Sébastien Chenu, réclame également des dommages et intérêts en raison d’allégations d’homophobie dans un article publié précédemment. Cette démarche souligne l’importance de lutter contre toutes les formes de discrimination, quelles qu’elles soient.

Les jugements rendus le 21 mai prochain seront suivis de près par l’OJF.

Nous restons engagés dans la lutte contre l’antisémitisme et toute forme de haine, et nous continuerons à travailler avec les autorités compétentes pour assurer la sécurité et la justice pour tous.

René LEVY


source : https://ojdf.org/2024/03/communique-de-presse-le-20-mars-dernier-jerome-bourbon-le-directeur-de-publication-de-rivarol-comparaissait-devant-la-xviie-chambre-du-tribunal-correctionnel-de-paris/

samedi 6 janvier 2024

Rivarol et son retrait des distributeurs

BALANCE TON ANTISEMITE FAIT LE JOB.


Choqué par la vente de l’hebdomadaire antisémite et négationniste au rayon presse de Super U à Saint-Vit, un client a contacté L’Est Républicain. Le groupe U précise que la revue n’est plus censée être vendue dans ses magasins depuis septembre 2022 et invoque une erreur de livraison.

En faisant ses courses au Super U de Saint-Vit, Sébastien M. a été choqué de trouver au rayon presse de l’hypermarché le magazine Rivarol. L’hebdomadaire d’extrême droite est connu pour ses positions antisémites, homophobes, racistes et négationnistes. 

Son directeur, Jérôme Bourbon, a été condamné une quinzaine de fois pour provocation à la haine, contestation de crime contre l’humanité et injure raciste. Dans le numéro de janvier, Gérald Darmanin y est surnommé « Moussa ». Une pleine page est consacrée à Robert Brasillach, rédacteur en chef du journal antisémite Je suis partout, fusillé en 1945. « Franchement, ça fait tache. Ça m’embêterait qu’un jeune tombe sur une publication de cette nature. Neuf fois sur dix, ils n’ont aucune idée de ce que c’est », déplore Sébastien M., pointant le fait que d’autres enseignes l’ont retiré de leurs gondoles, comme Carrefour, Auchan ou Cultura.

Plus d’aides à la presse ni de statut IPG

Depuis mai 2022, les distributeurs ne sont en effet plus tenus de distribuer ce journal, qui ne bénéficie plus d’aides à la presse. En cause : une décision de la commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP) de le retirer de la liste des publications « d’information politique et générale » (IPG), considérant qu’il « présente un défaut d’intérêt général ». Les titres de cette liste sont les seuls, depuis 2019, à faire l’objet d’une obligation de distribution par les revendeurs. Rivarol a contesté cette décision en justice.

Une livraison « contrairement aux décisions prises »

A l'été 2022 les Sleeping Giants ainsi que Jugé Coupable et The Minister sur twitter avaient mis la pression sur les distributeurs, notamment Carrefour, en lançant une campagne en ligne pour qu’ils retirent Rivarol. D'autres associations comme la Licra, la Dilcrah, Stoppons Rivarol et Balance ton antisémite s'étaient elles aussi mobilisées depuis des mois. Avec succès.

Au-delà de Carrefour, d’autres enseignes avaient suivi. Dont Super U, théoriquement. « Le bureau national de la coopérative a acté le retrait de Rivarol de son offre de presse dans les magasins U en septembre 2022 », fait savoir le groupe, contacté par L’Est Républicain. « Ce rayon est fourni par un intermédiaire (messagerie de presse) qui alimente les magasins avec les publications. Dans le cas de Saint-Vit, le magasin a été livré d’exemplaires de Rivarol contrairement aux décisions prises. Le magasin a procédé au retrait des exemplaires présents dans son linéaire », indique U. Sébastien M. se dit satisfait de cette décision. « C’est un engagement citoyen de ne pas présenter ce torchon », estime-t-il.

source: Eléonore Tournier. L'Est Républicain.

BTA


jeudi 28 septembre 2023

Stoppons Rivarol ! Un proche de Jérôme Bourbon perquisitionné et placé en garde à vue

 
Nous apprenions le mardi 26 Septembre, la mise en garde à vue de Zied Ghazouani fondateur de la chaine antisémite "Radio Principe TV", Une perquisition de son domicile par la police judiciaire de Reims a été effectué. Son matériel informatique, ordinateurs et téléphones ont été réquisitionnés ainsi qu'à son épouse. 

Ci-dessous petit exemple de ses propos:

 
 
Ses propos d'incitation à la haine raciale, homophobes et ceux de ses invités lui sont reprochés. La "Dissidence" et tous ses acteurs y sont régulièrement invités, de Jérôme Bourbon à Christophe Chalençon ou encore Abdel Zahiri (https://www.balancetonantisemite.com/search/label/Abdel%20Zahari).
 
C'est là qu'ils crachent leur venin.



Ce coup-ci, c'était à Jérôme Bourbon de venir faire son discours crasse aux côtés du même Zied et de ses amis : https://www.balancetonantisemite.com/search/label/Zied%20GHAZOUANI

 

 
 
Suite à cette dernière un signalement avait été effectué. Nous ne savons pas à l'heure ou nous publions cet article, la suite de cette garde à vue. Remise en liberté ou incarcération...la réponse ne serait tarder.

Penchons nous maintenant sur le cas de Jérôme Bourbon, rédacteur du Torchon "Rivarol" et de ses derniers crachats antisémites et homophobes en date. En parcourant le dernier numéro de ce journal puant, notre regard se porte entre autre sur un article page 5 signé par un certain Jean Terrien, dont la plume ressemble étrangement à celle de Bourbon, mais aussi celle de Youssef Hindi... On dit ça on ne dit rien. A la dernière phrase, après avoir listé un grand nombre de Juifs, « dans cet échiquier, la France peut retrouver sa place à condition d’abattre au préalable ses ennemis. » ce n’est même plus le Juifs en général mais ça renvoie directement à toutes les personnes citées. Cette semaine Rivarol met en pratique le théoricien nazi Carl Smith : identifier et nommer l'ennemi de la France : Le juif.

 

 
Dans son Rivarol Bourbon vend un livre négationniste ignoble sur massacre d'Oradour par les Waffen-SS, et fait défendre Reynouard par Peter RUSHTON, un des pires néonazis anglais.

 
Dans tous les numéros de Rivarol, Jérôme Bourbon stigmatise également les personnes #LGBTQI...
 
 
 
Mr Gérard DARMANIN, Mr Emmanuel MACRON, nous demandons une nouvelle fois l'interdiction de distribution et de publication de cet hebdomadaire anti-républicain, antisémite et homophobe ainsi que la mise en détention de son rédacteur en chef multi-récidiviste. 
 
Cordialement, BTA
 
 

mardi 23 mai 2023

LE BAL DES FACHOS INTERDIT. Rivarol dans la tourmente.

 


Jérôme Bourbon contraint d'annuler son banquet Rivarolien prévu pour le 24 juin. Lui qui espérait gratté un peu d'oseille, à 60 euros la place....  🤣
La Complainte d'un antisémite en détresse:

"Interdiction de la réunion de l’Institut Iliade : cette fois, c’est sûr, nous sommes bien entrés en tyrannie !

AU FOU ! Après avoir interdit sept événements patriotiques, qui devaient avoir lieu dans la capitale les samedi 13 et dimanche 14 mai, la préfecture de police de Paris, appliquant strictement les consignes du ministre de l’Intérieur, Gérald Moussa Darmanin, qui exige l’interdiction préventive et systématique de toutes les manifestations et de tous les événements organisés par « l’extrême droite » et « l’ultra-droite », a récidivé le vendredi 19 mai en interdisant la réunion de l’Institut Iliade qui devait se tenir le dimanche 21 mai à Paris à l’occasion des 10 ans de la mort de l’écrivain et militant Dominique Venner (1935-2013). Il nous paraît utile de publier l’essentiel de cet arrêté pris le vendredi 19 mai, moins de 48 heures avant la tenue du colloque (qui n’a pu finalement avoir lieu), tant il est délirant et tant il démontre que nous sommes entrés de plain-pied, sans forcément nous en être immédiatement rendu compte sur le moment, depuis la crise covidesque, en tyrannie. Comme nous l’écrivions la semaine dernière, il ne s’agit plus désormais d’une simple répression mais d’une véritable oppression. On n’a pas suffisamment mesuré à quel point les atteintes inqualifiables et insupportables aux libertés fondamentales, sous des prétextes sanitaires divers, de 2020 à 2022, atteintes à la liberté de circulation, de réunion (y compris au sein du cercle familial), de manifestation, de culte, hélas totalement validées et confirmées à l’époque par la justice administrative, qui ne s’est pas grandie dans l’affaire, créaient un redoutable précédent qui déboucherait immanquablement, à court ou à moyen terme, sur un véritable goulag mental voire physique, sur la relégation sociologique voire la persécution ouverte de tous les opposants au régime, ou plus précisément de tous ceux dont le pouvoir a envie de se débarrasser.


Voici donc les attendus de cet arrêté interdisant ce colloque :

« Considérant, en premier lieu, que Dominique Venner, figure de l’extrême droite et auteur d’un manifeste Pour une critique positive, considéré comme l’un des ouvrages de référence d’une partie de l’ultra-droite des années 1960-70, a été condamné à 18 mois de prison pour appartenance à l’organisation de l’armée secrète (OAS), organisation terroriste clandestine proche de l’extrême droite créée le 11 février 1961 (incroyable : on reproche à un homme mort depuis dix ans son appartenance à l’OAS datant de plus de soixante ans. Ils ne savent plus quoi inventer à la Préfecture de police !) […] »

« Considérant, en deuxième lieu, que l’Institut Iliade considère que cette réunion ne constitue pas “un simple événement d’hommage” mais plutôt une “célébration à poursuivre les actions contre l’accélération du grand remplacement afro-maghrébin” ; que sur les réseaux sociaux, il appelle à la défense de la civilisation et à refuser le Grand Remplacement et indique sur son site Internet ne pas vouloir vénérer des cendres mais “allumer des feux” »

« Considérant, à cet égard, que certains des intervenants à cet hommage sont connus pour tenir de tels propos ; que, dès lors, il existe des risques sérieux pour que, à l’occasion de cet hommage, des propos incitant à la haine et à la discrimination envers un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée soient tenus, que de tels propos, constitutifs du délit puni d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende par l’article 32 de la loi du 29 juillet 1881 susvisée, sont de nature à mettre en cause la cohésion nationale et les principes consacrés par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. »

« Considérant, en troisième lieu, que cet hommage, dont l’annonce est relayée sur les réseaux sociaux, ne constitue pas un simple événement “privé”, mais constitue une réunion publique ouverte à des participants tant au niveau national qu’européen. »

« Considérant qu’il appartient à l’autorité de police compétente de prévenir les infractions à la loi pénale par des mesures adaptées, nécessaires et proportionnées ; qu’une mesure qui interdit la réunion organisée par l’Institut Iliade le dimanche 21 mai prochain, entre 15h00 et 19h00, au Pavillon Wagram, sis 47 avenue de Wagram — 75017 Paris et intitulée : « Dominique Venner. La Flamme se maintient » répond à ces objectifs. »

« Vu l’urgence,

Arrête :

Article 1er. La réunion organisée par l’Institut Iliade le dimanche 21 mai prochain, entre 15h00 et 19h00, au Pavillon Wagram, sis 47 avenue de Wagram 75017 Paris intitulée « Dominique Venner. La Flamme se maintient » est interdite.

Article 2. La préfète, directrice du cabinet, le directeur de l’ordre public et de la circulation et la directrice de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de police, notifié à M. François Bousquet, organisateur de la réunion, ou à son représentant et consultable sur le site de la préfecture de police.

Fait à Paris, le 19 mai 2023.

Laurent Nunez. »

DANS UN PREMIER TEMPS, on pourrait penser qu’il s’agit d’un sketch, d’un gag, tellement les considérations sont grotesques et outrées. Il faut se pincer pour y croire. Non, on ne rêve pas. Il s’agit bien d’un arrêté officiel pris par la Préfecture de police de Paris. Un colloque d’hommage à un écrivain décédé il y a dix ans, quoi qu’on puisse penser par ailleurs du penseur en question ou des orateurs qui étaient prévus, est interdit purement et simplement. Et comme le préfet a pris cette décision au dernier moment, les organisateurs n’ont eu que très peu de temps pour déposer un référé-liberté auprès du tribunal administratif de Paris qui n’avait pas rendu sa décision au moment où le colloque dominical devait commencer. La police a pris place massivement devant le lieu où devait se tenir cette réunion, dans le 17e arrondissement de Paris. Le colloque n’a donc pas eu lieu. Si les organisateurs ont décidé de saisir la justice administrative sur le fond et de déposer un recours en excès de pouvoir auprès du Conseil d’Etat contre la circulaire Darmanin du 9 mai 2023 demandant l’interdiction préalable de tous les événements dits d’extrême droite ou d’ultra-droite, le mal est fait. Et il est évident que les mesures répressives, liberticides et tyranniques de ce régime malfaisant ne s’arrêteront pas là.


Il ne faut se faire aucune illusion : tous les événements qualifiés, à tort ou à raison, d’extrême droite ou d’ultra-droite, notions qui, répétons-le, n’ont absolument rien de juridique, sont et seront désormais systématiquement interdits. Pas simplement les manifestations de rue, mais même un colloque réunissant des penseurs, des intellectuels, un salon du livre, un banquet, un hommage statique à sainte Jeanne d’Arc, au Maréchal Pétain et, pourquoi pas, à Louis XVI, ou même une simple offrande florale. En effet Yvan Benedetti, le chef du mouvement Les Nationalistes, est ainsi convoqué toutes affaires cessantes le mardi 23 mai par la sûreté territoriale de Paris pour avoir simplement déposé un bouquet de fleurs à la Sainte de la Patrie, d’abord à sa statue du 13e arrondissement, boulevard Saint-Marcel, puis à sa statue équestre Place des Pyramides dans le 1er. Un dépôt de gerbe lui aussi interdit !


NOUS DÉNONÇONS de toutes nos forces ces interdictions scandaleuses et ignominieuses, y compris bien sûr celle de l’Institut Iliade à qui nous exprimons, dans ces circonstances révoltantes, notre solidarité et notre compassion. Car il faut faire front dans la répression. Toute injustice doit en effet être publiquement dénoncée et nous espérons que les recours déposés par les organisateurs seront couronnés de succès, même si cela ne change pas grand-chose hélas à la situation tyrannique que nous subissons. Nous sommes entrés dans une ère de glaciation, bien pire encore que ce que nous avions connu après le montage de Carpentras en mai 1990. Pierre Joxe, alors ministre de l’Intérieur du gouvernement Rocard, François Mitterrand étant à l’Elysée, avait en effet profité de cette affaire extrêmement suspecte pour interdire la Fête de Jeanne d’Arc le 13 mai 1990, quelques jours après la profanation de tombes au cimetière juif de Carpentras, et de nouveau le 12 mai 1991. Et surtout le pouvoir socialiste s’était servi de l’émotion suscitée par l’événement très médiatisé pour faire voter et promulguer la loi Rocard-Fabius-Gayssot (du 13 juillet 1990) faisant du révisionnisme historique un délit puni d’un an de prison ferme et de 45 000 euros d’amende. Ce qui paraissait inouï dans un pays comme la France, empêcher la liberté de recherche, d’expression et d’opinion, encadrer strictement le travail des historiens, interdire la publication de leurs travaux et de leurs conclusions dès lors qu’ils ne coïncident pas avec la version officielle et obligatoire de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale entérinée au tribunal militaire international de Nuremberg en 1946, est advenu. C’était une injustice majeure, une ignominie totale, une insupportable régression d’un point de vue intellectuel et moral. Et pourtant cette injustice a été dans l’ensemble acceptée. Bien rares en effet sont ceux qui se sont dans la durée et en profondeur opposés à cette loi inique et liberticide, une loi émanant, ne l’oublions jamais, de l’entité sioniste qui vient de célébrer ses 75 ans, le 14 mai 2023, jour où ont été interdites à Paris tant de manifestations patriotiques. Est-ce là une simple coïncidence ? Ce n’est pas sûr quand on constate que, pour interdire certaines manifestations, on manie ouvertement l’accusation d’antisémitisme et de négationnisme.


Il est particulièrement saisissant que l’interdiction de se réunir dans le cadre d’un colloque pacifique touche désormais même l’Institut Iliade de Philippe Conrad, de Jean-Yves Le Gallou et de François Bousquet. Ces personnalités bien propres sur elles ont en effet pris grand soin, depuis de longues années, de lisser leur image et leur discours, d’apparaître présentables et respectables, de ne surtout pas aborder les sujets trop périlleux comme la question juive ou le révisionnisme historique, elles ont même poussé la prudence jusqu’à ne rien dire, ne rien écrire, pas même un simple tweet ou un bref communiqué, quand le Professeur Faurisson a rendu son âme à Dieu en octobre 2018, quand Vincent Reynouard a été capturé et emprisonné en Ecosse, en toute illégalité, en novembre 2022, quand RIVAROL a perdu l’agrément de la commission paritaire et son compte PayPal en mai 2022 ou lorsque notre hebdomadaire a été interdit de vente et d’exposition dans différents supermarchés et autres lieux de vente de la presse. Feu Dominique Venner lui-même, honoré dans ce colloque, après avoir été très courageux dans son combat pour l’Algérie française, et dont on ne saurait nier ni les qualités de plume ni l’érudition, avait lui aussi, à partir des années 1970, choisi le camp de « l’extrême droite » bourgeoise et modérée, ne frayant pas avec les personnalités et publications jugées extrémistes. Ou plutôt compromettantes pour ses relations mondaines et son carnet d’adresses. C’est ainsi que consacrant une édition entière de sa revue, aujourd’hui défunte, La Nouvelle revue d’histoire, à la révolution bolchevique en Russie, il n’avait pas dit un mot, pas un seul, sur la place pourtant essentielle des juifs parmi les dirigeants bolcheviks. Il avait également refusé de chroniquer dans sa revue les livres d’Hervé Ryssen sur la question juive. Pareillement, lorsque le Salon du livre organisé par la mairie FN de Toulon, alors dirigée par Jean-Marie Le Chevalier, avait perdu l’aval du Conseil général du Var, qui organisa un salon du livre dissident et très politiquement correct, où croyez-vous que Dominique Venner se rendit ? Au salon du livre du conseil général et non à celui de la mairie FN jugé trop sulfureux. Et quand il accepta de donner une interview à la revue identitaire et néo-droitiste Réfléchir et Agir, il refusa d’apparaître en première de couverture parce qu’il y figurait également le visage de Jean-Marie Le Pen, l’homme du détail ! Ce qui était encore trop pour Venner qui a écrit avant de se donner la mort dans la cathédrale de Paris, un acte objectivement sacrilège, le livre Un samouraï d’Occident : le bréviaire des insoumis mais qui, depuis la fin de la guerre d’Algérie, était devenu un samouraï qui ne sortait guère son sabre, surtout quand il s’agissait d’aborder des sujets et des thématiques jugés trop dangereux !

Comme quoi la recherche à tout prix de la respectabilité bourgeoise n’empêche pas au final la répression lorsqu’on est qualifié d’extrême droite ou d’ultra-droite par les media. Il ne sert à rien de faire des concessions, de donner des gages, de passer sous les fourches caudines de l’adversaire car la République depuis l’origine pratique la loi des suspects. La Terreur révolutionnaire s’étend à un champ toujours plus large, englobe dans sa folie répressive un nombre toujours plus grand de mouvements, de groupements, de personnalités, d’idées, de positions. Il faut donc lui faire face sans rien lui céder. Car quitte à être réprimé, persécuté, opprimé, autant que la parole soit vraie, que le discours soit authentique, que la vérité soit totale. C’est le choix que nous avons fait et que nous maintiendrons, aussi longtemps qu’il nous sera possible de nous exprimer.


NE NOUS LE CACHONS PAS, cette succession d’interdictions a évidemment des conséquences directes pour la tenue de notre banquet rivarolien prévu à Paris intra muros le samedi 24 juin à midi. Il ne faut pas être naïf ni se voiler la face : dans la mesure où le préfet de police de Paris a interdit systématiquement depuis le 12 mai toutes les manifestations et tous les événements liés de près ou de loin à « l’extrême droite », y compris un colloque, un forum et une journée d’hommage, et que Darmanin a demandé par principe l’interdiction présente et à venir de toutes les manifestations dites « d’extrême droite », il ne fait pas le moindre doute que notre banquet sera interdit. Et qu’il le sera très probablement au dernier moment pour occasionner les dommages les plus importants, notamment sur le plan financier, mais aussi quant aux efforts consentis par les participants venus des six coins de la France et parfois même de l’étranger. Et quand bien même aurait-on le temps de saisir en urgence, dans le cadre d’un référé-liberté, le tribunal administratif de Paris, la confirmation de l’interdiction ne fait aucun doute. A partir du moment où le même tribunal a confirmé l’interdiction de l’hommage à Jeanne d’Arc que voulaient rendre les Nationalistes d’Yvan Benedetti au motif que ce dernier a été condamné « pour négationnisme et contestation de crimes contre l’humanité », jugements pourtant frappés d’appel, comment imaginer qu’il lève in extremis l’interdiction d’un banquet organisé par le directeur d’un hebdomadaire qui défend publiquement Faurisson et Reynouard et qui a été condamné, lui de manière définitive, et à plusieurs reprises, pour ces mêmes délits, sans même parler de condamnations pour incitation ou provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence ?

Par conséquent, la mort dans l’âme, au vu de la situation, et après avoir longuement réfléchi et consulté notre avocat, des juristes et des personnalités amies, nous avons pris la décision, hélas devenue inexorable, de reporter sine die ce banquet en espérant des jours meilleurs. Même si, à court et moyen terme, on ne peut guère envisager hélas une amélioration de la situation. Jamais peut-être nos libertés élémentaires et fondamentales ont été à ce point bafouées, niées. La nuit est profonde et les ténèbres sont épaisses. Nous allons bien sûr écrire dans les jours qui viennent à toutes les personnes s’étant déjà inscrites au banquet, par courrier électronique à celles qui nous avaient communiqué leur courriel, par courrier postal à toutes les autres, pour leur proposer soit bien sûr de les rembourser intégralement, soit de réserver la somme qu’elles ont versée pour un prochain banquet (mais on peut craindre que ce ne soit pas demain la veille au vu de la restriction constante de nos libertés), soit de transformer cette réservation en don au vu des frais engagés. Nous avions en effet versé le 5 janvier dernier par virement bancaire un acompte de 30 % aux gestionnaires de la salle réservée d’un montant de 14 907 euros. Une somme rondelette que nous ne récupérerons pas, l’acompte en droit commercial n’étant pas remboursable. Nous avons tenté d’expliquer la situation à nos interlocuteurs qui ont été très courtois mais qui n’ont rien voulu savoir. Et, ont-ils ajouté, si vous aviez annulé moins d’une semaine avant l’événement, c’est la totalité de la somme qu’il aurait fallu verser, soit près de 50 000 euros. Nous n’avions donc pas d’autre solution hélas que d’annuler ce banquet.

Nous avions été très discrets jusque-là pour éviter que des pressions s’exercent sur le propriétaire de la salle. C’est pourquoi nous n’avions pas donné ni le nom ni le lieu. Nous avons consacré beaucoup de temps et d’énergie pour trouver une salle et pour organiser ce grand banquet. Tous ces efforts sont réduits en poussière. Nous n’imaginions pas que nous ferions face à une menace d’interdiction pure et simple de l’événement. De plus, sachant que des participants viennent de loin et engagent des frais non négligeables pour ce banquet, il nous paraît plus sage d’annuler dès maintenant l’événement plutôt que d’attendre une interdiction au dernier moment. Ils pourront ainsi se faire rembourser plus facilement et à des conditions plus avantageuses s’ils ont déjà engagé des dépenses. Si nous maintenons le banquet jusqu’au bout, nous allons droit dans le mur et nous subirons un bouillon financier encore bien plus grand. Nous n’avons donc hélas pas d’autre choix actuellement. Nous en sommes profondément navrés. La situation des libertés est encore plus dramatique que ce que nous pouvions imaginer il y a peu encore. Et humainement il y a hélas bien peu de chances que les choses s’arrangent. C’est triste et fort préoccupant. Mais cela ne doit pas nous décourager. Il faut combattre avec énergie et détermination dans l’adversité. Il ne faut rien céder sur le fond, avoir une parole de vérité. C’est tellement nécessaire, tellement vital dans ce monde empuanti par le mensonge et l’imposture. Avec votre soutien, votre admirable fidélité, nous sommes bien décidés à nous battre. Contre vents et marées. En gardant les pieds sur Terre. Et en levant les yeux au Ciel. Sachant que c’est dans la nuit qu’il est beau de croire à la lumière.[…]"

Nous remercions tous ceux qui ont pu participer à ce résultat. Le Fachisme ne passera pas.

BTA.

lundi 20 mars 2023

L'OJF demande l'interdiction de publication du journal antisémite Rivarol.

L’OBSERVATOIRE JUIF DE FRANCE DÉPOSE PLAINTE À L’ENCONTRE DE L’ANTISÉMITE JÉRÔME BOURBON ET CLAIRE BIZIEN ALIAS EPONA.


Jérôme BOURBON et Claire BIZIEN, lors d’une vidéo réalisé pour Le Parti de la France, mouvement politique proche des idées nauséabondes du parti Nazi / National Socialiste, qui a conduit à la ruine de l’Europe, propagent une haine envers les Juifs d’une rare violence, vidéo diffusée sur plusieurs plateformes sur le web, sous forme d’interview, comme nous le dévoilions dans cet article :

Jérôme BOURBON et Claire BIZIEN tiennent également des propos racistes, homophobes et appellent au meurtre. Extrait ci-dessous :


Jérôme BOURBON et Claire BIZIEN, représentante de ce parti dont le secrétaire général est Bruno HIROUT, y remettent odieusement en cause le génocide des juifs durant la seconde guerre mondiale et blâment les Présidents de la République et représentants de l’État pour leurs participations aux dîners du CRIF et surtout pour « leur  plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme ». Le directeur de Rivarol y déclare : « c’est un combat contre notre peuple, contre notre nation puisque il s’agit en quelque sorte de nous étouffer, de nous asphyxier et d’empêcher d’nous exprimer librement ».

Communiqué officiel de l'Observatoire Juif de France

https://observatoirejuifdefrance.fr/2023/03/lobservatoire-juif-de-france-depose-plainte-a-lencontre-de-lantisemite-jerome-bourbon-et-demande-linterdiction-de-la-publication-du-journal-rivarol/



samedi 11 mars 2023

La Communauté Juive accusée de vouloir détruire la civilisation européenne !



Jérôme Bourbon ayant plus d’une vingtaine de procès à son actif pour incitation à la haine raciale ou contestation de crime contre l'Humanité, cet admirateur d'Adolf Hitler assume pleinement son antisémitisme turpide et émétique.

Il est un des signataires de l'illégitime pétition « Liberté pour Ryssen » effrontément présentée comme un « appel à tous les défenseurs de la liberté d’expression », à traduire par « de la liberté d'expression raciste et antisémite » qu'il est du bon sens le plus implacable de vouloir abolir. 
 
Il a dit :
« L’ensemble du monde blanc et occidental […] est véritablement la cible d’une immigration de masse qui est évidemment une immigration qui est voulue. […] D’ailleurs, je ne vois pas en quoi les juifs et le judaïsme ont joué un rôle important en France jusqu’à une date récente. Depuis, oui, c’est sûr que c’est une minorité très visible et même ostentatoire. J’arrête. On va dire que je dérape. […] Nous, on est désarmés. Nos défenses immunitaires sont éliminées par le jugement de Nuremberg […]. N’ayons pas peur pour que d’un faux génocide arrive un vrai génocide, que de faux crimes contre l’humanité arrive un vrai crime contre l’humanité : celui qui est en train de se passer sous nos yeux, l’élimination de la race blanche, l’élimination de notre civilisation européenne et chrétienne. Haut les cœurs ».


Dans son dernier entretien aux côtés de son béni-oui-oui joyeux Florian Rouanet titré « Palmade dépasse les "Borne" » et diffusé depuis mi-février, l'antisémite compulsif Jérôme Bourbon déclare ceci : 

« La droite en Occident, elle n'est autorisée que si elle est CASHER... ... il suffit de lire "Deux siècles ensemble" de Soljénitsyne où le lobby juif avait un poids très important quand même et là pour le coup ils étaient du côté des persécuteurs et pas des persécutés hein ? J’veux dire... j’y peux rien. Il suffit d’lire Soljénitsyne donc voilà... donc c’est pas d’ma faute si la vérité est antisémite, bon ! Voilà ! Et donc, bon c’est un fait j’y peux rien, bon voilà !
C’est ça finalement, c’qui nous tombe dessus. Moi j’écoute chaque année pour savoir tiens... quel tarif j’vais payer finalement. C’est pas l’prix du gaz (il rit d’autosatisfaction de cette allusion de mauvais goût aux chambres à gaz) mais c’est l’prix de ce que j’vais devoir payer c’t’année, voilà, en amendes, en procès, éventuellement en peines de prison ou que sais-je ? Bon voilà... j’en passe et des pires. Alors donc Nicolas Sarkozy alors Président d’la République ??? (mot difficilement audible) comprendre la question juive elle m’anime moi. C’est central, j’y peux rien bon!
— (Florian Rouanet) On dirait qu’vous venez d’boire une café. (rire)
— (Jérôme Bourbon) (Rire) ... sans Zyklon B et alors en 2008 fondamentalement et bien figurez- vous que donc Nicolas Sarkozy avait dit, c’qui était tout à fait sordide d’ailleurs que il fallait qu’un enfant de CM2 parraina un enfant "victime de la Shoah", hein ? Je mets ça entre guillemets. Voilà, bon voilà ! C’était ses expressions, ses déclarations, c’était sordide. ...
Donc c’est vous dire à quel point on est dans un régime à bien des égards soviétique finalement hein ? Voilà ! Et que de plus en plus on est traité comme des Palestiniens finalement à qui tout droit est dénié, est nié et simplement rappeler la morale chrétienne, rappeler c’que sont nos traditions, rappeler ce que dit la Bible de l’homosexualité, ne pas vouloir que la France soit submergée, dénoncer c’que Mitterrand appelait l’influence puissante et nocive du lobby juif, bah toutes ces choses et d’autres encore peuvent conduire en prison, voilà ! Donc ça faut l’savoir.
C’est Israël ??? (mot difficilement compréhensible) (Florian Rouanet en rit.) Ils peuvent faire ce qu’ils veulent ... »

Nous avons relevé quelques extrais très explicites de ses déjections ci-dessous :


 Jérôme Bourbon et sa judéophobie obsessionnelle.

Comme tout antisémite qui "se respecte" pour lui derrière chaque complot se cache un juif.

Dans de cette autre vidéo "Les entretiens du PdF - N°43 - Jérôme Bourbon (26/02/2023)" aux côtés de la racialiste "identitaire" Claire Bizien connu sous le nom d'Epona (plus d'infos sur elle ICI) s'enfonce un peu plus dans l'horreur. Voici quelques-uns des propos relevés lors de cet entretient digne du régime de Vichy !

« Aujourd’hui ce sont dans les murs impersonnels du nouveau Palais d’Justice porte de Clichy mais enfin… oui j’en connais tous les recoins, oui, voilà !
— (Claire BIZIEN) Bientôt les cartes de fidélité.
— (Jérôme B.) Voilà c’est ça.
— (Claire BIZIEN) P’t’être qu’ils vont tamponner des étoiles, alors justement vous êtes assez prolixe sur le sujet de la Shoah, de la communauté juive... » 

... ou encore :

« On voit très bien que c’qu’ils appellent le combat contre l’antisémitisme., en fait il faut dire les choses, c’est un combat contre notre peuple, contre notre nation puisque il s’agit en quelques sorte de nous étouffer, de nous asphyxier et d’empêcher d’nous exprimer librement... avec la Shoah, la colonisation et l’esclavage on est en permanence dans la repentance, dans l’auto-flagellation, dans l’ethnomasochisme et évidemment les conséquences en sont absolument catastrophiques. »


Extraits de ces échanges ci-dessous


L'antisémitisme est objectivement un fléau qui menace les fondements même de nos sociétés et un indicateur de mauvaise santé morale d'une part d'un peuple réduite à accuser pathologiquement le juif de tous les maux.

L'actualité nous rappelle cruellement au fil des semaines cette nécessité de ne plus rien laisser passer.

Suites à ces deux dernières vidéos, de nouvelles plaintes ont d'ores et déjà été déposées.

Nous ne lâcherons rien ! 

BTA



ps : Salut Jérôme, tu vois, nous sommes sympas, avec toi comme avec d'autres de tes congénères que nous avertissons à chaque dépôt de plainte. Jamais aucun remerciement de votre part. Quelle ingratitude !

Nous tenions à t'informer également de la prochaine interdiction de publication de ton torchon Rivarol...
Tu vois on pense à toi.
La bise de toute l'équipe.