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vendredi 10 février 2023

Extradition du négationniste et antisémite Vincent Reynouard.


Bilan de l’audience du 9 février

Ce 9 février, la question de l’extradition de M. Reynouard vers la France était débattue au Tribunal du Shérif d’Édimbourg.

M. Reynouard devait comparaître en visioconférence, mais à cause d’un problème technique, il ne comparut pas. Toutefois, l’audience fut maintenue, car son avocat a affirmé avoir le soutien complet de son client dans la défense de ses intérêts.

L’avocat de M. Reynouard a informé le tribunal qu’il a reçu la vidéo qui a valu à son client la condamnation pour laquelle la France réclame son extradition. Cette vidéo est en effet très importante dans cette affaire.

Rappelons que les autorités françaises ont fondé leur demande d’extradition en accusant le M. Reynouard de «racisme/xénophobie» (l’un des 23 crimes et délits pour lesquels l’extradition depuis le Royaume-Uni vers la France est immédiate), car les faits pour lesquels le révisionniste a été condamné en France (à savoir «négation de l’Holocauste») ne constituent pas un délit au Royaume-Uni, ce qui empêche légalement son extradition.

L’avocat de M. Reynouard a donc déclaré qu’il désire établir si la vidéo incriminée relève bien du racisme et de la xénophobie, car si tel n’est pas le cas, la demande d’extradition de la France sera jugée irrecevable.

Le Shérif Alistair Noble a donc décidé qu’une nouvelle audience préliminaire se tiendrait le 9 mars, et une audience pour débattre de la question de l’extradition a pour le moment été fixée au 6 avril.

BTA

L'affaire Vincent Reynouard:https://www.balancetonantisemite.com/search/label/Vincent%20Reynouard

lundi 16 janvier 2023

Inspection de la cellule de Vincent Reynouard...

                                    

Mauvaise pioche pour Vincent Reynouard : Une fouille de plus d’une heure

Le 10 janvier à 17h15, trois hommes en uniformes faisaient irruption dans sa cellule, le fouillaient au corps, le démettaient totalement de ses habits. Chaussettes et caleçon furent inspectés. Conduit dehors, trois femmes et un homme se tenaient devant sa porte, il fut placé assis par terre face à la porte de sa cellule avec son compagnon afin qu'ils assistent aux recherches et cela durant plus d'une heure. Lits retournés, cartons renversés...

Deux téléphones portables saisis

La fouille dura plus d’une heure et permit de saisir deux téléphones portables : celui de son codétenu ainsi qu'un autre téléphone dont le scellé qui empêchait de remplacer la carte SIM avait disparu. Pas de chance pour Vincent Reynouard... Les deux appareils furent placés dans deux sacs plastiques numérotés ainsi que deux croquis de la prison découverts parmi les dessins de Reynouard.


Pourquoi cette fouille ?

Réponse du négationniste :

"L’équipe m’a dit qu’il s’agissait d’une fouille de routine dans une cellule choisie au hasard. J’en doute, et d’autres détenus également. À mon avis, « on » me soupçonne d’utiliser un téléphone illégal, afin d’accorder des entretiens à Rivarol: celui qui présentait mon nouvel ouvrage sur Oradour a sans aucun doute offusqué les gardiens de la Mémoire. Ne pouvant me faire taire, ils tentent de me nuire par tous les moyens. L’entretien est paru au début des vacances de Noël, la fouille a eu lieu une semaine après la rentrée: j’ai du mal à y voir un hasard. Les autorités françaises savent que l’utilisation illégale d’un téléphone en prison est sévèrement réprimée: ici, des prisonniers m’ont informé qu’une telle infraction pouvait être punie de six mois de prison, sans compter les sanctions supplémentaires et tous les désagréments possibles pour le détenu condamné. 

Je fais confiance en la Providence

Initialement, le report avait été fixé au 23 février. Que signifie cet empressement? À mes yeux, c’est sans intérêt: comme d’habitude, je fais confiance en la Providence. En prison ou en liberté, j’ai des projets plein la tête. Je laisse le reste entre les mains de Dieu. Nous le saurons le 9 février, date à laquelle l’audience a été reportée."


Dans moins d'un mois nous serons fixé sur le sort de se négationniste. Pour le moment, il peut gouter aux joies du milieu carcéral. 


PS : À toi qui nous lis : Souviens-toi de nos délicats échanges sur Twitter. Nous te promettions de te retrouver et de te faire traduire en Justice. C'est chose faite. Tu vois Vincent, la Providence n'est décidément pas de ton côté, pas du côté des injustes.


BTA



dimanche 13 novembre 2022

ARRESTATION DE VINCENT REYNOUARD !


Vincent Reynouard enfin arrêté en Écosse ce jeudi matin vers 5h par la Police britannique…


Depuis plus de six ans, caché en Angleterre, Vincent espérait échapper à la justice Française mais pas de chance, notre équipe le traqua et réussit à le localiser. Nous adressions alors notre dossier aux autorités compétentes comme nous le précisions dans cet article : 

Son ami et fidèle compagnon Jérôme Bourbon  divulgua cette information comme nous le montre ces différentes captures :



C’est une figure de l’ultradroite que les autorités britanniques ont interpellée, jeudi 10 novembre en Ecosse, au cours d’une opération menée dans la plus grande discrétion et à l’initiative de la justice française. Vincent Reynouard, 53 ans, condamné à de multiples reprises pour ses thèses négationnistes, ses propos antisémites a été présenté à un juge d’Edimbourg avant de refuser son extradition et d’être emprisonné en attendant que les autorités judiciaires britanniques statuent sur son sort.

A noter :

"La France a demandé son extradition. Il est poursuivi par l'Office central de lutte contre les crimes contre l'humanité, les génocides et les crimes de guerre" 

« L’Office s’est enrichi récemment d’une autre mission. Confrontée à la prolifération des violations de cimetières juifs en Alsace, la direction de la gendarmerie a décidé de créer, en 2019, une petite cellule dédiée aux crimes de haine. Face au nombre des dossiers, elle est devenue dès août 2020, une division à part entière, forte de sept personnes. « Très longtemps, le mobile haineux n’était pas jugé déterminant dans le passage à l’acte, constate la lieutenante-colonelle Aurélie, 39 ans, cheffe de la division. Des tags nazis étaient traités comme des dégradations sans prendre en compte le contenu même du message. Il était juste considéré après coup comme une circonstance aggravante. Or, ce mobile est souvent central dans l’enquête. Il nécessite une sensibilité particulière, une prise de conscience du même ordre que pour les violences faites aux femmes. » (sic !) L’idée d’une continuité entre un internaute proférant des menaces de mort et un criminel de guerre s’est imposée. La division traite des infractions de droit commun en raison de l’appartenance de la victime à une ethnie, une nation, une race, une religion déterminée ou en raison de son orientation sexuelle. A compétence nationale, elle assure également son concours à des sections de recherche locales de la gendarmerie ou de la police. Elle peut être saisie par tous les parquets de France, mais travaille particulièrement avec le pôle parisien spécialisé dans la lutte contre la haine en ligne. Elle échange également avec les pays étrangers. « On ne peut plus penser franco-français quand les mouvements sont, eux, internationaux », justifie sa patronne, qui rappelle les camps d’entraînement de survivalistes français organisés en Hongrie ou en Ukraine. La division travaille ainsi sur les tags négationnistes badigeonnés en août 2020 sur le site d’Oradour. Elle tente d’obtenir l’extradition du Royaume-Uni du Français Vincent Reynouard, qui a pris la fuite après sa condamnation en novembre 2020 à quatre mois de prison pour négation de la Shoah (NDLR : c’est là une erreur du rédacteur. Vincent Reynouard est en effet au Royaume-Uni depuis le 16 juin 2015). Elle a participé à la condamnation d’un Allemand qui avait érigé sur sa propriété en Moselle une stèle à la gloire d’une division SS suspectée du massacre de Maillé, en Indre-et-Loire, le 25 août 1944. »

https://www.lemonde.fr/m-le-mag/art...x-et-criminels-de-guerre_6076096_4500055.html


Tout connaitre sur Vincent Reynouard de son exile à aujourd'hui :

https://www.balancetonantisemite.com/search/label/Vincent%20Reynouard


BTA fait le job. 


Ps : Nous ne t'oublions pas Fabrice (Jérôme Bourbon), toi qui malgré les condamnations de Reynouard, publie avec lui dans ton torchon antisémite Rivarol.



dimanche 21 août 2022

AFFAIRE RIVAROL "Carrefour..."

Confidences de Jérôme Bourbon.Suite à notre action menée aux côtés des @slpng_giants_fr et @gov_hm

Comprendre l'affaire: lire notre article du 19/08/2022 : https://www.balancetonantisemite.com/2022/08/carrefour-et-cultura-retirent-le.html

 ...,le patron de Rivarol, avoue son échec à l’activiste néo-nazi Vincent Reynouard recherché par les autorités. par le biais d'un sms

Information requise grâce à notre veille sur les activités et contacts de Vincent Reynouard.
Car oui, Vincent Reynouard en fuite en Angleterre et recherché par les autorités anglaises et françaises rentre bien en contact avec le Patron de Rivarol Jérôme Bourbon. Comme nous l'explique l'anti-juifs Vincent Reynouard dans ce court extrait.
Nous ne lâcherons rien. 

BTA
Ps: A toi qui nous lis, petit Vincent, Bourbon est effectivement un homme à l'âme vieillissante et crasseuse, mais on ne donne pas une nouvelle jeunesse à un torchon infecté d'une puanteur innommable.
La bise on veille sur toi.




mercredi 17 août 2022

Vincent Reynouard dans le viseur du Mossad

Toujours recherché par les autorités françaises et britanniques, Vincent Reynouard quand à lui, vit pour l'instant une vie sans encombre entre les cours qu'il professe à nouveau et ses activités négationnistes sur ses différents comptes tels que GAB. Face à l'échec des autorités britanniques, il ne nous restait qu'une solution. Celle de l'intervention du Mossad. Nous leur avons donc envoyé le dossier de cet évangéliste anti-juif.

https://twitter.com/JCoupable/status/1559827838265708544?s=20&t=lEqMtcBCArNERQKiaTRnRg
A bout de souffle Vincent Reynouard avoue son échec lors d'un interview dans la vidéo ci-dessous


Un loupé de la police anglaise. Souvenez vous.
LETTRE DE VINCENT REYNOUARD 

"Chers Amis,

Je vous donne enfin de mes nouvelles. Après avoir échappé de justesse à une arrestation, je vais très bien. Je suis logé dans une petite chambre et, le soir, je travaille quelques heures dans un établissement.

Le 25 octobre, deux inspecteurs ont frappé à la porte de mon domicile pour « parler à Vincent Reynouard ». Des inspecteurs qui veulent vous parler, je connais. En juillet 2010, à Bruxelles, deux inspecteurs m’avaient demandé de les suivre pour me parler et signer un papier. Je les ai suivis, j’ai signé. Le soir, je dormais en prison… Le 25 octobre dernier, j’ai donc joué le tout pour le tout en niant être Vincent Reynouard. J’ai expliqué qu’il était en France et qu’il reviendrait dans deux ou trois jours. Les inspecteurs sont repartis. Mais dix minutes après, ils tambourinaient à la porte avant de l’ouvrir, je ne sais comment. J’ai juste eu le temps de prendre une paire de chaussures et un disque externe de secours que je tenais prêt en cas d’urgence, et j’ai fui par derrière. J’ai dévalé l’escalier, sauté par-dessus un vélo qui obstruait les dernières marches, puis j’ai couru jusqu’à un jardin public. Là, je me suis débarrassé de la veste que les inspecteurs avaient vue, j’ai récupéré un masque facial qui traînait au sol et je suis parti vers le village voisin. Jusqu’au soir, j’ai erré… Je vivais un véritable film !

Une amie anglaise m’a recueilli. Au bout de trois semaines, elle m’a trouvé un travail chez un ami patron informé (partiellement) de ma situation, donc qui me paye en numéraire. J’ai ainsi pu m’acheter le strict nécessaire pour vivre (des sous-vêtements, un manteau, un pantalon, du nécessaire de toilette, une bouilloire et un bol…). Matin, midi et soir, je mange des Weetabix (NDLR : céréales de blé complet) avec du lait en poudre, car cela ne nécessite ni réfrigérateur, ni préparation, et c’est compact.

Combien de temps cela va-t-il durer ? Je l’ignore. Dans ma situation, je vis au jour le jour. Des amis ont débarrassé l’appartement où je vivais et ont entreposé mes affaires dans un endroit sûr qui m’est inaccessible.

Malgré tout, je ne regrette rien. Cette vie, je l’ai choisie. Je savais à quoi je m’exposais. Je m’étais toujours demandé ce qu’avaient pu ressentir les vaincus qui, en 1945, fuyaient après avoir tout perdu. Bien que ma situation soit infiniment moins tragique, je le vis un peu. L’expérience m’enthousiasme. Car le fait de vivre au jour le jour et de m’en remettre totalement à la Providence me donne une sensation de liberté immense, quasi infinie. Pour me reposer, n’ayant que très peu de moyens de distraction, je médite. Ces deux dernières années, j’avais beaucoup lu à ce sujet, mais sans jamais pratiquer, car entre mes cours et mes vidéos, je vivais à cent à l’heure. Désormais, seul dans ma chambre, je pratique.

Bref, je suis très heureux et je comprends parfaitement l’enseignement traditionnel selon lequel la situation extérieure n’est rien, c’est la façon dont l’esprit réagit qui est tout. A 52 ans, sans famille et recherché, je vis comme un étudiant désargenté. Je passerai Noël seul dans ma chambre, avec mes trois Weetabix et mon bol de thé. Je pourrais vouloir me pendre. Je pourrais me consumer dans la haine de mes adversaires. Or, mes adversaires, je n’y pense jamais ; ils n’ont été et ne sont que des instruments de la Providence. Encore une fois, je savais à quoi je m’exposais.

Je me souviens du professeur Faurisson qui, dans ses premières lettres, m’écrivait : […]"

Vincent REYNOUARD

L'antisémitisme n'est ni un jeu ni un faire valoir. Nous ne lâcherons rien.

BTA

PS: Alors Vincent, puisque tu nous lis...  Saches que nous te suivons à la trace.
La fatalité comme tu la nommes ou encore la providence, celle qui t’enchaîne depuis des années a tes propres contradictions….Ne serait elle pas la seule responsable de tes maux ?
La bise, tu vois nous ne t'oublions pas.

vendredi 3 juin 2022

Nouvelle provocation de Vincent Reynouard.


A dix jours des commémorations du drame d'Oradour, Vincent Reynouard diffuse en France, à des adresses ciblées, une brochure qui résume son livre à venir sur le drame d'Oradour (titre : "Oradour : le cri des victimes"). Dans cette vidéo, il lance un message au maire d'Oradour et cite Lucie Aubrac. lien de sa vidéo:https://gab.com/Reynouard/posts/108398468820827432
Voici un court extrait de son discours
Vincent Reynouard reconnait lui même que ses jours de liberté sont comptés. Outres ses soucis avec la justice française, il se retrouve aujourd'hui à devoir se terrer. Sans papier sur le territoire anglais, sans sécurité sociale....Il est seul avec ses idées crasses. Il lance donc un appelle à Jérôme Bourbon l'invitant à un débat.

Comme tout grand égocentrique qu'il est , il parle biens sûr de lui à la troisième personne...

"L'hebdomadaire «Rivarol» vient de perdre les aides accordées à la presse. L'objectif du pouvoir est de l'asphyxier financièrement. Certains dénoncent une liberté d'expression à géométrie variable. Dans cette vidéo, Vincent Reynouard analyse l'affaire et démontre que la répression contre le «torchon antisémite Rivarol» s'inscrit dans la logique des droits de l'homme, une logique infernale qui réduit nécessairement au silence le camp national.

Il appelle à soutenir Rivarol mais invite également son directeur à une discussion amicale sur le catholicisme qu'il défend bec et ongles."

Aujourd'hui ennuyé par ses pertes financières, Jérôme Bourbon directeur  des publications du torchon "Rivarol" a du mal à s'en remettre, entre le retrait de son agrément de la presse puis la fermeture de son compte Paypal : https://twitter.com/JCoupable/status/1456577544304664579?s=20&t=YZeGUqWmlgWrDNbzQrQXsg
https://twitter.com/JCoupable/status/1531669224707747841?s=20&t=YZeGUqWmlgWrDNbzQrQXsg

Nous attendons avec impatience ce débat espérant qu'il leur coute de nouvelles condamnations.

BTA

Tout sur:


mardi 15 février 2022

VINCENT REYNOUARD ATTEINT DU SYNDROME DE STOCKHOLM NOUS ADRESSE UN MESSAGE

Poursuivi par la Justice Française depuis de nombreuses années et localisé par notre équipe, Vincent Reynouard nous livre une nouvelle vidéo.

En cavale depuis que deux inspecteurs se sont présentés à son domicile, le 25 octobre 2021, Vincent Reynouard n’avait plus donné de signe de vie jusqu’à son article du 22 décembre 2021 publié dans l’hebdomadaire Rivarol.

Son site négationniste toujours en ligne, il nous raconte sa fuite dans la vidéo ci-dessous

Atteint du syndrome de Stockholm

Comme vous le remarquerez, son état psychique ne s'améliore pas. Le voilà qui nous remercie pour toute l'attention que nous lui portons et s'imagine festoyer à nos côtés autour d'un verre... comme deux vieux pote. Pour lui nous sommes "ses amis", comme il le dit. Nous vous laissons juger par vous même...

Pathologique non ?

"Le syndrome de Stockholm est un mécanisme psychologique qui se traduit par un lien d'attachement voire d'amour de la part d'une victime vis-à-vis de son agresseur..."

Nous ne pensions pas le voir réapparaitre aussi vite. Mais il faut dire, Reynouard est toujours resté en contact avec son ami Yvan Benedetti qui s'occupe de tout...

Son pedigree:

https://www.balancetonantisemite.com/search/label/Vincent%20Reynouard

T'inquiètes petit Vincent alias "Valentin Vincent", Benedetti n'est pas seul à s'occuper de ton cas. A très bientôt, la bise .

BTA






jeudi 27 janvier 2022

Deux sites négationnistes appartenant à Vincent Reynouard fermés par la justice.

BALANCE TON ANTISEMITE A LA MANOEUVRE.


Vincent Reynouard actuellement recherché par la police anglaise et Europol, se cache en Angleterre depuis plusieurs années, d'où il continuait ses déjections négationnistes et antisémites à travers ses différents comptes liés aux réseaux sociaux. Suite à notre persévérance et à celle d' @antisemitism.org nous arrivions à le loger, comme nous le précisons dans nos derniers articles le concernant: https://www.balancetonantisemite.com/search/label/Vincent%20Reynouard .  Nous communiquions tous ces éléments à la Dilcrah (Organisation gouvernementale)

SUITE A NOS INVESTIGATIONS

Le tribunal judiciaire de Paris ordonne le blocage de Shoarnaque et Blogue-sc (pour Blogue sans concession) chez les principaux fournisseurs d’accès français : Orange, SFR, Free, Bouygues, mais aussi Colt et Sprintlink France. Deux sites rattachés à la maison d’édition fondée par le négationniste Vincent Reynouard. Next INpact diffuse les deux jugements rendus aujourd'hui.

L’assignation remontait aux 20 et 22 décembre dernier, à la requête du procureur de la République. Elles visent ces deux sites qui se présentent comme liés à « Sans Concession », la maison d’édition de Vincent Reynouard « dont le but est, selon ses propres termes, “la diffusion du révisionnisme historique et la réhabilitation du national-socialisme” », relate le ministère public.

Le premier, par exemple, « contient des articles et vidéos dont le contenu tend à nier ou minorer de façon outrancière l’existence du génocide ayant touché la communauté juive durant la Seconde Guerre mondiale », ajoute-t-il, non sans rappeler que ces propos sont constitutifs du délit de contestation de crime contre l’humanité.

Toujours sur Shoarnaque, on trouve « de prétendues démonstrations tendant à nier l’existence du génocide et à en contester les preuves matérielles », et de multiples tentatives pour réhabiliter le révisionnisme.

Sur Blogue-sc, même teneur, comme en témoigne l’intitulé des contenus : « Quand les soldats allemands sauvaient des Français », « Contre la “mémoire juive”, pour une Histoire vraie », « Simone Veil, menteuse sur la Shoah », « 1945 : les Alliés mentent sur Dachau pour accréditer le mythe des “chambres à gaz” », etc.

En amont de la procédure civile initiée par le ministère public, on retrouve un signalement de la direction interministérielle à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH) du 6 mai 2021, mais aussi un procès-verbal de renseignement judiciaire de l’office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, les génocides et les crimes de guerre (OCLCH) du 30 avril 2021 et enfin un procès-verbal du Pôle national de lutte contre la haine en ligne du parquet, en date des 28 et 30 septembre 2021. Rare mesure ayant échappé à la censure de la loi Avia.

Nous tenons à remercier tous ceux qui ont pris part à ce dossier.

BTA

PS: Salut Vincent, nous savons que depuis ton trou à rat tu nous lis. Ne t'en fais pas, comme tu vois, on s'applique.

La bise....


mardi 21 décembre 2021

VINCENT REYNOUARD EN CAVALE DONNE DE SES NOUVELLES


Vincent Reynouard  qui espérait se faire oublier outre-manche se retrouvait bien malgré lui propulsé sur le devant de la scène. C'est ce que nous déclarions à la vue de la sortie du film "L'homme de la cave".

Reynouard à nouveau à l'écran, forçait les autorités à agir...




Le 19 MAI 2019 nous lui laissions un message :

"Nous avons contacté le CST (protection de la communauté juive en Angleterre) dirigé par Michael WHINE, membre également de la Commission Européenne contre le racisme.  Ensemble, plus forts !"

Vincent Reynouard exilé en Angleterre ne risquait pas grand chose malgré les nombreuses plaintes à son actif, l'Angleterre ne faisant plus parti de l'Union européenne et le négationnisme n'y étant pas condamnable. Reynouard vivait des jours heureux entre négationnisme et cours  de mathématiques.

Ses cours de mathématique et son élève juive

Mai 2019,  Reynouard publiait une vidéo "L'élève juive et le Prof nazi"



Il y déclarait : 


"Si tu savais qui est assis auprès de toi, le nazi négationniste, qui épaule une demoiselle juive pour qu'elle passe son bac.... C'est véritablement JOUISSIF ! Je me retrouve à enseigner les maths à une élève juive qui annote un passage sur le négationnisme. DE TELS MOMENTS JOUISSIFS SONT INCOMPARABLES !"

Ces mots étaient de trop, le nazi jubilait à en mouiller sa culotte !  

Si n'importe quel élève pouvait rentrer en contact avec lui, nous le pouvions aussi. Nous décidions donc d'inscrire notre fille à ses cours. Il nous suffit de nous connecter sur 2 sites francophones pour tomber nez à nez sur la photo de profil de Vincent Reynouard qui avait simplement changé de prénom, pour celui de "Valentin" comme nous l'indiquions dans notre article du 9 novembre 2021 :  


Nous avions donc récupéré le numéro de téléphone de Mister Reynouard. Il ne nous restait plus qu'à le contacter pour prendre un rendez-vous, pour le premier cours de notre "fille". Le piège était tendu, Reynouard venait de nous donner son adresse. C'est ainsi que nous contactions nos amis d'Antisemitism.org qui transmettaient aux autorités anglaises. De notre côté,  nous transmettions aux différents services en charge de cette affaire.


Alors non, contrairement aux délires et fantasmes de ses amis, le Mossad n'est pas à l'origine de la disparition de Reynouard mais Reynouard lui -même. Il aimait bien se mettre en scène, livrer ses moments d'intimité,  comme avec cette photo prise devant chez lui :


Fantasmes et turpitudes
 
L'enlèvement, voir la mort de Reynouard

Affolée, la caste négationniste envisage le pire, même un assassinat ! BTA aurait enlevé ou tué leur mentor !










Plusieurs plaintes ont d'ailleurs été déposées concernant ces activistes au Q.I. d'huître et sur lesquels nous reviendrons...

Ce que nous pouvons affirmer à l'heure actuelle est que Jérôme BOURBON ment. Oui, comme à son habitude, le patron de Rivarol nous ment, est bien en rapport avec son ami Reynouard et se vend dans l'extrait ci-dessous



Pour Reynouard communiquer est essentiel. C'est ainsi qu'il décide de laisser une petite lettre racontant sa cavale. Petite lettre qui devrait être publiée demain en exclusivité dans le torchon Rivarol :

LETTRE DE VINCENT REYNOUARD 

"Chers Amis,

Je vous donne enfin de mes nouvelles. Après avoir échappé de justesse à une arrestation, je vais très bien. Je suis logé dans une petite chambre et, le soir, je travaille quelques heures dans un établissement.

Le 25 octobre, deux inspecteurs ont frappé à la porte de mon domicile pour « parler à Vincent Reynouard ». Des inspecteurs qui veulent vous parler, je connais. En juillet 2010, à Bruxelles, deux inspecteurs m’avaient demandé de les suivre pour me parler et signer un papier. Je les ai suivis, j’ai signé. Le soir, je dormais en prison… Le 25 octobre dernier, j’ai donc joué le tout pour le tout en niant être Vincent Reynouard. J’ai expliqué qu’il était en France et qu’il reviendrait dans deux ou trois jours. Les inspecteurs sont repartis. Mais dix minutes après, ils tambourinaient à la porte avant de l’ouvrir, je ne sais comment. J’ai juste eu le temps de prendre une paire de chaussures et un disque externe de secours que je tenais prêt en cas d’urgence, et j’ai fui par derrière. J’ai dévalé l’escalier, sauté par-dessus un vélo qui obstruait les dernières marches, puis j’ai couru jusqu’à un jardin public. Là, je me suis débarrassé de la veste que les inspecteurs avaient vue, j’ai récupéré un masque facial qui traînait au sol et je suis parti vers le village voisin. Jusqu’au soir, j’ai erré… Je vivais un véritable film !

Une amie anglaise m’a recueilli. Au bout de trois semaines, elle m’a trouvé un travail chez un ami patron informé (partiellement) de ma situation, donc qui me paye en numéraire. J’ai ainsi pu m’acheter le strict nécessaire pour vivre (des sous-vêtements, un manteau, un pantalon, du nécessaire de toilette, une bouilloire et un bol…). Matin, midi et soir, je mange des Weetabix (NDLR : céréales de blé complet) avec du lait en poudre, car cela ne nécessite ni réfrigérateur, ni préparation, et c’est compact.

Combien de temps cela va-t-il durer ? Je l’ignore. Dans ma situation, je vis au jour le jour. Des amis ont débarrassé l’appartement où je vivais et ont entreposé mes affaires dans un endroit sûr qui m’est inaccessible.

Malgré tout, je ne regrette rien. Cette vie, je l’ai choisie. Je savais à quoi je m’exposais. Je m’étais toujours demandé ce qu’avaient pu ressentir les vaincus qui, en 1945, fuyaient après avoir tout perdu. Bien que ma situation soit infiniment moins tragique, je le vis un peu. L’expérience m’enthousiasme. Car le fait de vivre au jour le jour et de m’en remettre totalement à la Providence me donne une sensation de liberté immense, quasi infinie. Pour me reposer, n’ayant que très peu de moyens de distraction, je médite. Ces deux dernières années, j’avais beaucoup lu à ce sujet, mais sans jamais pratiquer, car entre mes cours et mes vidéos, je vivais à cent à l’heure. Désormais, seul dans ma chambre, je pratique.

Bref, je suis très heureux et je comprends parfaitement l’enseignement traditionnel selon lequel la situation extérieure n’est rien, c’est la façon dont l’esprit réagit qui est tout. A 52 ans, sans famille et recherché, je vis comme un étudiant désargenté. Je passerai Noël seul dans ma chambre, avec mes trois Weetabix et mon bol de thé. Je pourrais vouloir me pendre. Je pourrais me consumer dans la haine de mes adversaires. Or, mes adversaires, je n’y pense jamais ; ils n’ont été et ne sont que des instruments de la Providence. Encore une fois, je savais à quoi je m’exposais.

Je me souviens du professeur Faurisson qui, dans ses premières lettres, m’écrivait : […]"


Vincent REYNOUARD.



Vincent Reynouard vit ses dernières heures de liberté.
Nous avons fait notre taf. La justice terminera le sien.

Nous avons tenu notre promesse. Alors ? À qui le tour ? 

BTA VEILLE. La bise !

PS: Jérôme, on pense à toi .


mardi 23 novembre 2021

Les "Anges du Mossad" derrière la disparition de Vincent Reynouard ?

Dans son dernier article publié LE 24/11/2021, Jérôme bourbon envisage le pire.

Vincent reynouard est il toujours vivant, serait il mort, aurait il était enlever par BTA et le mossad ? 

Sans nouvelles de son ami négationniste depuis plus d'un mois...Bourbon se confie.


"Qu’est devenu Vincent Reynouard disparu depuis un mois sans laisser de traces ?

DEPUIS UN MOIS désormais, Vincent Reynouard a disparu sans laisser de traces. Et ce qui est alarmant, c’est qu’à notre connaissance il n’a contacté personne, absolument personne, depuis ce fameux lundi 25 octobre 4 heures de l’après-midi où il a réussi à fausser compagnie aux policiers britanniques et d’Interpol venus l’appréhender à son domicile. Ni sa famille, ni ses amis, ni ses proches collaborateurs. Même pas de manière indirecte ou minimaliste. Il a disparu des radars. Il s’est volatilisé. Nous n’avons même pas aujourd’hui la certitude qu’il est vivant ni qu’il est libre. Il est toutefois probable que, s’il avait été arrêté, des sites communautaires se seraient alors fait une joie et un devoir de l’annoncer urbi et orbi, de le crier sur les toits, de revendiquer cette incarcération comme une victoire. Ce qui laisse à penser qu’il n’est pas actuellement derrière les barreaux. 

Mais il y a depuis l’origine dans toute cette affaire quelque chose d’étrange, d’inhabituel, sinon de passablement inquiétant. D’abord, cela ne ressemble pas à Vincent de ne pas se manifester, d’une manière ou d’une autre, sur une aussi longue durée. Il lui était en effet possible d’écrire une lettre pour donner des nouvelles sans bien sûr divulguer le lieu où il se trouve, et en la postant assez loin de l’endroit où il se cache, d’envoyer un texto rassurant à un proche, quitte à se débarrasser immédiatement après du téléphone pour ne pas laisser de trace, ou de passer par l’intermédiaire d’une tierce personne pour donner un signe de vie. Or, jusque-là, il n’a rien fait de tel. Ce n’est pas ainsi qu’il avait agi lors de ses précédentes cavales en 2008-2009 (en Belgique et en France) et de nouveau au printemps 2015 (en Flandre) avant de s’exiler en Angleterre, le 16 juin 2015. 

QUE SAVONS-NOUS de certain ou d’à peu près certain à ce jour ? La police britannique et Interpol (si c’est bien d’eux qu’il s’agit) ont sonné en bas de son domicile le lundi 25 octobre en milieu d’après-midi. Vincent descend l’escalier, ouvre la porte. Voyant les policiers lui indiquant qu’ils veulent parler à Vincent Reynouard, ce dernier décline une fausse identité, puis claque aussitôt la porte sur les policiers. La porte ne s’ouvrant pas de l’extérieur, cela laisse le temps à Vincent de remonter en toute hâte à son appartement, et même de téléphoner à 15h44 à un proche collaborateur, certainement pour le prévenir de la situation et peut-être l’appeler à l’aide. Las, ce dernier, qui est dans le train, n’entend pas l’appel. Vincent ne laisse pas de message vocal. Il n’a pas le temps. Il se saisit rapidement, semble-t-il, de l’argent liquide dont il dispose grâce à ses cours particuliers, laisse tout sur place (son téléphone, ses papiers d’identité, son permis de conduire, ses ordinateurs portables, ne prend pas de change). Entendant les policiers qui ont finalement réussi à ouvrir la porte d’entrée grimper quatre à quatre les marches d’escalier jusqu’au deuxième étage, il a tout juste le temps de fuir par la cour intérieure du petit immeuble qui donne sur une sortie à l’arrière du bâtiment de sorte qu’il a pu semer ses poursuivants. 

Une demi-heure plus tard à peine, l’ami s’apercevant que Vincent Reynouard l’a appelé, son numéro s’étant inscrit sur son portable en appel entrant, lui téléphone aussitôt. Cinq fois de suite. Les quatre premières fois, l’appel sonne dans le vide. Ce qui est logique puisque le téléphone a été laissé à l’appartement. Mais la cinquième fois, l’appel est rejeté. Manuellement. A cet instant-là, il y a donc quelqu’un à l’appartement. Qui ? Selon toute vraisemblance, la police qui était possiblement encore sur les lieux à ce moment-là. Mais pourquoi alors ne pas avoir répondu à l’appel ? C’est étonnant de la part de policiers qui poursuivent un fugitif et qui habituellement ne négligent aucune piste pour obtenir des renseignements, et surtout pas un appel téléphonique qui peut s’avérer déterminant. Plus étonnant encore, la police n’a rien pris dans l’appartement de Vincent. Ni les ordinateurs, ni le téléphone, ni les archives, ni les pièces d’identité. Tout a, semble-t-il, été laissé intact. Ce n’est pas là non plus dans les habitudes de la police de ne pas saisir les éventuelles pièces à conviction, de ne pas procéder à des fouilles méticuleuses du logement de la personne que l’on recherche, de ne pas saisir le matériel informatique ni le téléphone qui peuvent parfois donner de précieux renseignements.

ON A LE SENTIMENT qu’il y a des éléments manquants au puzzle. Quelque chose cloche dès le départ, suscite un malaise, légitime toutes les suspicions, autorise toutes les hypothèses. Est-on sûr d’abord qu’il s’agissait d’Interpol ? C’est en tout cas ce qu’a déclaré la propriétaire de l’appartement, répétant ce que lui avaient dit les (vrais ou faux) policiers britanniques. C’est ce qu’affirmait également Sarah Cattan dans son très long article du 3 novembre pour Tribune juive. Mais, quelques jours après, ce n’était déjà plus tout à fait la même version. Le compte Twitter intitulé Jugé coupable (qui est animé par le collectif anonyme BTA : Balance ton antisémite) indiquait soudainement que « Vincent Reynouard n’a pas de notice rouge d’Interpol », contrairement par exemple à Boris Le Lay exilé au Japon depuis 2014, ce qui laissait entendre que ce n’est pas forcément Interpol qui a sonné le 25 octobre au bas de l’appartement loué par le militant révisionniste dans le Grand Londres. 

Mais si ce n’est pas Interpol, qui cela peut-il bien être ? La police britannique ? Peut-être, mais agissant à la demande de qui ? Dans quel cadre ? Sur quelle base légale ? Certes, à ce jour, Vincent Reynouard a été condamné en tout depuis son exil en Angleterre à 29 mois de prison ferme par des juridictions françaises pour avoir contrevenu à la loi Rocard-Fabius-Gayssot. Mais il n’y a pas actuellement d’équivalent de cette législation anti-révisionniste au Royaume-Uni. Comment peut-on donc motiver légalement une demande d’extradition ? Certes, comme le disait feu le professeur Robert Faurisson, « quand il s’agit de lutte contre le révisionnisme, il n’y a ni foi, ni loi, ni droit. Tout est permis. » La chasse au révisionniste est ouverte toute l’année, n’importe où, n’importe quand, n’importe comment. Au reste, les anonymes analphabètes et haineux de BTA ne se vantent-ils pas d’être des « chasseurs d’antisémites » ? Et manifestement leur chasse n’est pas réglementée. Elle n’est pas limitée à certains horaires et à une ou deux saisons dans l’année. Elle est permanente, sauvage et brutale, s’exerce de nuit comme de jour, ne s’encombre pas de respect des conventions, de la morale, de la probité et de la vérité. 

IL EST SOMME TOUTE très facile à quelqu’un de déterminé de se faire passer pour un policier sans l’être aucunement. Vincent Reynouard avait raconté en vidéo comment, il y a cinq ans environ, alors qu’il était déjà en Angleterre, deux hommes étaient venus intimider une personne de son entourage immédiat restée en France, comment ils l’avaient suivie la journée en voiture, puis comment ils l’avaient attendue devant la porte de son appartement, puis, à son arrivée dans le couloir, comment il l’avait forcée à leur ouvrir la porte et à leur communiquer sous la menace les coordonnées téléphoniques et l’adresse exacte du domicile de Vincent au Royaume-Uni. Et manifestement, ce soir-là, ce n’était pas la police. Les deux hommes n’ont d’ailleurs pas eu la politesse de se présenter ni de décliner leur identité. 

Plus étrange encore, Vincent avait raconté comment, une nuit, il y a un peu plus d’un an, des inconnus s’étaient introduits chez lui pendant son sommeil, au précédent domicile qu’il occupait près de Londres, et avaient, semble-t-il, fouillé dans ses affaires, ses archives, ses documents, comme s’ils recherchaient absolument quelque chose de précis, d’important, et étaient repartis. Il s’en était aperçu car il avait soigneusement fermé la porte avec un verrou la veille au soir, avant de se coucher, il s’en souvenait fort bien, or, la porte était ouverte au petit matin à son réveil ! 

On peut donc tout imaginer dans l’affaire présente, et plus le temps s’écoule, plus le silence devient assourdissant. Chaque jour qui passe nourrit le doute, accroît l’angoisse. Car si ce n’est ni Interpol, ni la police britannique qui a sonné chez lui ce jour-là, qui cela pouvait-il bien être ? Mais qui ? Serait-ce le fameux “qui” de Claude Posternak apostrophant le général Delawarde le 18 juin dernier sur CNews ? 

AU MOMENT OÙ il est parti en courant vers son destin le lundi 25 octobre vers 16 h. heure de Londres (17 h. heure de Paris), pour peut-être ne plus jamais réapparaître, Vincent mettait la dernière main à une étude approfondie et actualisée sur le drame d’Oradour-sur-Glane. Il s’apprêtait à me l’envoyer par courrier électronique comme mémoire en défense dans le cadre du procès qui m’était intenté deux jours plus tard, le 27 octobre, à la suite de la publication dans RIVAROL du 2 septembre 2020 d’un long article de deux pleines pages sur le tag inscrit sur le centre de la mémoire d’Oradour et sur l’hystérie que ce graffiti réalisé nuitamment, du 20 au 21 août 2020, avait suscitée dans la classe politico-médiatique. Vincent souhaitait en faire un livre détaillé avec force illustrations, un ouvrage sur le point d’être achevé dont il était heureux et fier et qu’il comptait absolument éditer et proposer à la vente avant Noël. Il avait, me confiait-il, fait des découvertes importantes, sinon sensationnelles, dont il était impatient et excité de faire connaître la teneur à ses lecteurs et qui, selon lui, étaient de nature à éclairer d’une lumière nouvelle toute cette ténébreuse affaire. Ce document ne m’a finalement jamais été communiqué, pas même par un intermédiaire ou au moyen de telle ou telle astuce, de tel ou tel artifice, de telle ou telle ruse dont Vincent n’est pourtant pas avare. 

Tout cela décidément ne lui ressemble pas, lui qui, travailleur acharné, et ne manquant jamais à ses promesses, a toujours fait l’impossible, remué ciel et terre, pour diffuser, publier, transmettre ses études, ses travaux, ses découvertes, ses intuitions, ses raisonnements, ses argumentaires par écrit et par vidéos. De manière tout aussi inexplicable, il n’a pas non plus prévenu, ni fait prévenir par un tiers, la grosse vingtaine d’élèves qu’il avait jusque-là en cours particuliers et qui se sont retrouvés du jour au lendemain sans leur professeur, et sans aucune nouvelle de lui, alors que les dates avaient été prises, les cours programmés, les rendez-vous confirmés. Non, décidément, cela ne lui ressemble pas. Certes, on conçoit parfaitement que les premiers jours d’une cavale, l’on pare au plus pressé et que la priorité soit de se cacher, de survivre et que l’on ne donne pas immédiatement de ses nouvelles. Peut-être ce silence prolongé s’explique-t-il seulement par sa prudence, sa crainte d’être repéré et appréhendé, un simple principe de précaution. Si l’on veut cultiver l’optimisme, c’est ce dont il faut essayer de se persuader. Mais, outre que cela n’est guère dans les habitudes de Vincent, et ne correspond nullement jusque-là à son mode opératoire, voilà maintenant un mois entier qu’il a disparu dans la nature sans laisser aucune trace, sans transmettre le moindre message, de manière directe ou indirecte, franche ou subliminale, de nature à rassurer sa famille, ses amis, ses proches, ses relations, sans donner le moindre signe de vie. Voilà qui nous plonge assurément dans un abîme de perplexité voire d’angoisse. Il est des silences qui, lorsqu’ils se prolongent, sont encore moins rassurants que le cliquetis des clés fermant à double tour la cellule d’un infortuné prisonnier.  […]"

Notre réponse à Fabrice "Jérôme Bourbon"

Angoissé, opprimé, tu peux effectivement envisager le pire. Rester sans donner signe de vie ne fait pas parti des habitudes de Vincent Reynouard. Parti sans papier et avec ses quelques sous, Reynouard ne peut pas aller bien loin. Peut être le retrouveras tu mort sous un pont, décomposé au fond d'une cave ? Avec Vincent tout est possible. 

Le temps est une lime qui travaille sans bruit et il joue en notre faveur. 
L'affaire Reynouard est désormais entre les mains de cellules compétentes...
Alors cher Fabrice à qui le tour maintenant ? 

BTA, des amis qui ne t'oublient pas .

Ps: Nous avons confié ton dossier aux équipes en charge de Vincent Reynouard. Avec un peu de chance vous pourriez partager la même cellule. 
LA BISE.