Affichage des articles dont le libellé est Vincent Reynouard. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Vincent Reynouard. Afficher tous les articles

vendredi 3 juin 2022

Nouvelle provocation de Vincent Reynouard.


A dix jours des commémorations du drame d'Oradour, Vincent Reynouard diffuse en France, à des adresses ciblées, une brochure qui résume son livre à venir sur le drame d'Oradour (titre : "Oradour : le cri des victimes"). Dans cette vidéo, il lance un message au maire d'Oradour et cite Lucie Aubrac. lien de sa vidéo:https://gab.com/Reynouard/posts/108398468820827432
Voici un court extrait de son discours
Vincent Reynouard reconnait lui même que ses jours de liberté sont comptés. Outres ses soucis avec la justice française, il se retrouve aujourd'hui à devoir se terrer. Sans papier sur le territoire anglais, sans sécurité sociale....Il est seul avec ses idées crasses. Il lance donc un appelle à Jérôme Bourbon l'invitant à un débat.

Comme tout grand égocentrique qu'il est , il parle biens sûr de lui à la troisième personne...

"L'hebdomadaire «Rivarol» vient de perdre les aides accordées à la presse. L'objectif du pouvoir est de l'asphyxier financièrement. Certains dénoncent une liberté d'expression à géométrie variable. Dans cette vidéo, Vincent Reynouard analyse l'affaire et démontre que la répression contre le «torchon antisémite Rivarol» s'inscrit dans la logique des droits de l'homme, une logique infernale qui réduit nécessairement au silence le camp national.

Il appelle à soutenir Rivarol mais invite également son directeur à une discussion amicale sur le catholicisme qu'il défend bec et ongles."

Aujourd'hui ennuyé par ses pertes financières, Jérôme Bourbon directeur  des publications du torchon "Rivarol" a du mal à s'en remettre, entre le retrait de son agrément de la presse puis la fermeture de son compte Paypal : https://twitter.com/JCoupable/status/1456577544304664579?s=20&t=YZeGUqWmlgWrDNbzQrQXsg
https://twitter.com/JCoupable/status/1531669224707747841?s=20&t=YZeGUqWmlgWrDNbzQrQXsg

Nous attendons avec impatience ce débat espérant qu'il leur coute de nouvelles condamnations.

BTA

Tout sur:


mardi 15 février 2022

VINCENT REYNOUARD ATTEINT DU SYNDROME DE STOCKHOLM NOUS ADRESSE UN MESSAGE

Poursuivi par la Justice Française depuis de nombreuses années et localisé par notre équipe, Vincent Reynouard nous livre une nouvelle vidéo.

En cavale depuis que deux inspecteurs se sont présentés à son domicile, le 25 octobre 2021, Vincent Reynouard n’avait plus donné de signe de vie jusqu’à son article du 22 décembre 2021 publié dans l’hebdomadaire Rivarol.

Son site négationniste toujours en ligne, il nous raconte sa fuite dans la vidéo ci-dessous

Atteint du syndrome de Stockholm

Comme vous le remarquerez, son état psychique ne s'améliore pas. Le voilà qui nous remercie pour toute l'attention que nous lui portons et s'imagine festoyer à nos côtés autour d'un verre... comme deux vieux pote. Pour lui nous sommes "ses amis", comme il le dit. Nous vous laissons juger par vous même...

Pathologique non ?

"Le syndrome de Stockholm est un mécanisme psychologique qui se traduit par un lien d'attachement voire d'amour de la part d'une victime vis-à-vis de son agresseur..."

Nous ne pensions pas le voir réapparaitre aussi vite. Mais il faut dire, Reynouard est toujours resté en contact avec son ami Yvan Benedetti qui s'occupe de tout...

Son pedigree:

https://www.balancetonantisemite.com/search/label/Vincent%20Reynouard

T'inquiètes petit Vincent alias "Valentin Vincent", Benedetti n'est pas seul à s'occuper de ton cas. A très bientôt, la bise .

BTA






jeudi 27 janvier 2022

Deux sites négationnistes appartenant à Vincent Reynouard fermés par la justice.

BALANCE TON ANTISEMITE A LA MANOEUVRE.


Vincent Reynouard actuellement recherché par la police anglaise et Europol, se cache en Angleterre depuis plusieurs années, d'où il continuait ses déjections négationnistes et antisémites à travers ses différents comptes liés aux réseaux sociaux. Suite à notre persévérance et à celle d' @antisemitism.org nous arrivions à le loger, comme nous le précisons dans nos derniers articles le concernant: https://www.balancetonantisemite.com/search/label/Vincent%20Reynouard .  Nous communiquions tous ces éléments à la Dilcrah (Organisation gouvernementale)

SUITE A NOS INVESTIGATIONS

Le tribunal judiciaire de Paris ordonne le blocage de Shoarnaque et Blogue-sc (pour Blogue sans concession) chez les principaux fournisseurs d’accès français : Orange, SFR, Free, Bouygues, mais aussi Colt et Sprintlink France. Deux sites rattachés à la maison d’édition fondée par le négationniste Vincent Reynouard. Next INpact diffuse les deux jugements rendus aujourd'hui.

L’assignation remontait aux 20 et 22 décembre dernier, à la requête du procureur de la République. Elles visent ces deux sites qui se présentent comme liés à « Sans Concession », la maison d’édition de Vincent Reynouard « dont le but est, selon ses propres termes, “la diffusion du révisionnisme historique et la réhabilitation du national-socialisme” », relate le ministère public.

Le premier, par exemple, « contient des articles et vidéos dont le contenu tend à nier ou minorer de façon outrancière l’existence du génocide ayant touché la communauté juive durant la Seconde Guerre mondiale », ajoute-t-il, non sans rappeler que ces propos sont constitutifs du délit de contestation de crime contre l’humanité.

Toujours sur Shoarnaque, on trouve « de prétendues démonstrations tendant à nier l’existence du génocide et à en contester les preuves matérielles », et de multiples tentatives pour réhabiliter le révisionnisme.

Sur Blogue-sc, même teneur, comme en témoigne l’intitulé des contenus : « Quand les soldats allemands sauvaient des Français », « Contre la “mémoire juive”, pour une Histoire vraie », « Simone Veil, menteuse sur la Shoah », « 1945 : les Alliés mentent sur Dachau pour accréditer le mythe des “chambres à gaz” », etc.

En amont de la procédure civile initiée par le ministère public, on retrouve un signalement de la direction interministérielle à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH) du 6 mai 2021, mais aussi un procès-verbal de renseignement judiciaire de l’office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, les génocides et les crimes de guerre (OCLCH) du 30 avril 2021 et enfin un procès-verbal du Pôle national de lutte contre la haine en ligne du parquet, en date des 28 et 30 septembre 2021. Rare mesure ayant échappé à la censure de la loi Avia.

Nous tenons à remercier tous ceux qui ont pris part à ce dossier.

BTA

PS: Salut Vincent, nous savons que depuis ton trou à rat tu nous lis. Ne t'en fais pas, comme tu vois, on s'applique.

La bise....


mardi 21 décembre 2021

VINCENT REYNOUARD EN CAVALE DONNE DE SES NOUVELLES


Vincent Reynouard  qui espérait se faire oublier outre-manche se retrouvait bien malgré lui propulsé sur le devant de la scène. C'est ce que nous déclarions à la vue de la sortie du film "L'homme de la cave".

Reynouard à nouveau à l'écran, forçait les autorités à agir...




Le 19 MAI 2019 nous lui laissions un message :

"Nous avons contacté le CST (protection de la communauté juive en Angleterre) dirigé par Michael WHINE, membre également de la Commission Européenne contre le racisme.  Ensemble, plus forts !"

Vincent Reynouard exilé en Angleterre ne risquait pas grand chose malgré les nombreuses plaintes à son actif, l'Angleterre ne faisant plus parti de l'Union européenne et le négationnisme n'y étant pas condamnable. Reynouard vivait des jours heureux entre négationnisme et cours  de mathématiques.

Ses cours de mathématique et son élève juive

Mai 2019,  Reynouard publiait une vidéo "L'élève juive et le Prof nazi"



Il y déclarait : 


"Si tu savais qui est assis auprès de toi, le nazi négationniste, qui épaule une demoiselle juive pour qu'elle passe son bac.... C'est véritablement JOUISSIF ! Je me retrouve à enseigner les maths à une élève juive qui annote un passage sur le négationnisme. DE TELS MOMENTS JOUISSIFS SONT INCOMPARABLES !"

Ces mots étaient de trop, le nazi jubilait à en mouiller sa culotte !  

Si n'importe quel élève pouvait rentrer en contact avec lui, nous le pouvions aussi. Nous décidions donc d'inscrire notre fille à ses cours. Il nous suffit de nous connecter sur 2 sites francophones pour tomber nez à nez sur la photo de profil de Vincent Reynouard qui avait simplement changé de prénom, pour celui de "Valentin" comme nous l'indiquions dans notre article du 9 novembre 2021 :  


Nous avions donc récupéré le numéro de téléphone de Mister Reynouard. Il ne nous restait plus qu'à le contacter pour prendre un rendez-vous, pour le premier cours de notre "fille". Le piège était tendu, Reynouard venait de nous donner son adresse. C'est ainsi que nous contactions nos amis d'Antisemitism.org qui transmettaient aux autorités anglaises. De notre côté,  nous transmettions aux différents services en charge de cette affaire.


Alors non, contrairement aux délires et fantasmes de ses amis, le Mossad n'est pas à l'origine de la disparition de Reynouard mais Reynouard lui -même. Il aimait bien se mettre en scène, livrer ses moments d'intimité,  comme avec cette photo prise devant chez lui :


Fantasmes et turpitudes
 
L'enlèvement, voir la mort de Reynouard

Affolée, la caste négationniste envisage le pire, même un assassinat ! BTA aurait enlevé ou tué leur mentor !










Plusieurs plaintes ont d'ailleurs été déposées concernant ces activistes au Q.I. d'huître et sur lesquels nous reviendrons...

Ce que nous pouvons affirmer à l'heure actuelle est que Jérôme BOURBON ment. Oui, comme à son habitude, le patron de Rivarol nous ment, est bien en rapport avec son ami Reynouard et se vend dans l'extrait ci-dessous



Pour Reynouard communiquer est essentiel. C'est ainsi qu'il décide de laisser une petite lettre racontant sa cavale. Petite lettre qui devrait être publiée demain en exclusivité dans le torchon Rivarol :

LETTRE DE VINCENT REYNOUARD 

"Chers Amis,

Je vous donne enfin de mes nouvelles. Après avoir échappé de justesse à une arrestation, je vais très bien. Je suis logé dans une petite chambre et, le soir, je travaille quelques heures dans un établissement.

Le 25 octobre, deux inspecteurs ont frappé à la porte de mon domicile pour « parler à Vincent Reynouard ». Des inspecteurs qui veulent vous parler, je connais. En juillet 2010, à Bruxelles, deux inspecteurs m’avaient demandé de les suivre pour me parler et signer un papier. Je les ai suivis, j’ai signé. Le soir, je dormais en prison… Le 25 octobre dernier, j’ai donc joué le tout pour le tout en niant être Vincent Reynouard. J’ai expliqué qu’il était en France et qu’il reviendrait dans deux ou trois jours. Les inspecteurs sont repartis. Mais dix minutes après, ils tambourinaient à la porte avant de l’ouvrir, je ne sais comment. J’ai juste eu le temps de prendre une paire de chaussures et un disque externe de secours que je tenais prêt en cas d’urgence, et j’ai fui par derrière. J’ai dévalé l’escalier, sauté par-dessus un vélo qui obstruait les dernières marches, puis j’ai couru jusqu’à un jardin public. Là, je me suis débarrassé de la veste que les inspecteurs avaient vue, j’ai récupéré un masque facial qui traînait au sol et je suis parti vers le village voisin. Jusqu’au soir, j’ai erré… Je vivais un véritable film !

Une amie anglaise m’a recueilli. Au bout de trois semaines, elle m’a trouvé un travail chez un ami patron informé (partiellement) de ma situation, donc qui me paye en numéraire. J’ai ainsi pu m’acheter le strict nécessaire pour vivre (des sous-vêtements, un manteau, un pantalon, du nécessaire de toilette, une bouilloire et un bol…). Matin, midi et soir, je mange des Weetabix (NDLR : céréales de blé complet) avec du lait en poudre, car cela ne nécessite ni réfrigérateur, ni préparation, et c’est compact.

Combien de temps cela va-t-il durer ? Je l’ignore. Dans ma situation, je vis au jour le jour. Des amis ont débarrassé l’appartement où je vivais et ont entreposé mes affaires dans un endroit sûr qui m’est inaccessible.

Malgré tout, je ne regrette rien. Cette vie, je l’ai choisie. Je savais à quoi je m’exposais. Je m’étais toujours demandé ce qu’avaient pu ressentir les vaincus qui, en 1945, fuyaient après avoir tout perdu. Bien que ma situation soit infiniment moins tragique, je le vis un peu. L’expérience m’enthousiasme. Car le fait de vivre au jour le jour et de m’en remettre totalement à la Providence me donne une sensation de liberté immense, quasi infinie. Pour me reposer, n’ayant que très peu de moyens de distraction, je médite. Ces deux dernières années, j’avais beaucoup lu à ce sujet, mais sans jamais pratiquer, car entre mes cours et mes vidéos, je vivais à cent à l’heure. Désormais, seul dans ma chambre, je pratique.

Bref, je suis très heureux et je comprends parfaitement l’enseignement traditionnel selon lequel la situation extérieure n’est rien, c’est la façon dont l’esprit réagit qui est tout. A 52 ans, sans famille et recherché, je vis comme un étudiant désargenté. Je passerai Noël seul dans ma chambre, avec mes trois Weetabix et mon bol de thé. Je pourrais vouloir me pendre. Je pourrais me consumer dans la haine de mes adversaires. Or, mes adversaires, je n’y pense jamais ; ils n’ont été et ne sont que des instruments de la Providence. Encore une fois, je savais à quoi je m’exposais.

Je me souviens du professeur Faurisson qui, dans ses premières lettres, m’écrivait : […]"


Vincent REYNOUARD.



Vincent Reynouard vit ses dernières heures de liberté.
Nous avons fait notre taf. La justice terminera le sien.

Nous avons tenu notre promesse. Alors ? À qui le tour ? 

BTA VEILLE. La bise !

PS: Jérôme, on pense à toi .


mardi 23 novembre 2021

Les "Anges du Mossad" derrière la disparition de Vincent Reynouard ?

Dans son dernier article publié LE 24/11/2021, Jérôme bourbon envisage le pire.

Vincent reynouard est il toujours vivant, serait il mort, aurait il était enlever par BTA et le mossad ? 

Sans nouvelles de son ami négationniste depuis plus d'un mois...Bourbon se confie.


"Qu’est devenu Vincent Reynouard disparu depuis un mois sans laisser de traces ?

DEPUIS UN MOIS désormais, Vincent Reynouard a disparu sans laisser de traces. Et ce qui est alarmant, c’est qu’à notre connaissance il n’a contacté personne, absolument personne, depuis ce fameux lundi 25 octobre 4 heures de l’après-midi où il a réussi à fausser compagnie aux policiers britanniques et d’Interpol venus l’appréhender à son domicile. Ni sa famille, ni ses amis, ni ses proches collaborateurs. Même pas de manière indirecte ou minimaliste. Il a disparu des radars. Il s’est volatilisé. Nous n’avons même pas aujourd’hui la certitude qu’il est vivant ni qu’il est libre. Il est toutefois probable que, s’il avait été arrêté, des sites communautaires se seraient alors fait une joie et un devoir de l’annoncer urbi et orbi, de le crier sur les toits, de revendiquer cette incarcération comme une victoire. Ce qui laisse à penser qu’il n’est pas actuellement derrière les barreaux. 

Mais il y a depuis l’origine dans toute cette affaire quelque chose d’étrange, d’inhabituel, sinon de passablement inquiétant. D’abord, cela ne ressemble pas à Vincent de ne pas se manifester, d’une manière ou d’une autre, sur une aussi longue durée. Il lui était en effet possible d’écrire une lettre pour donner des nouvelles sans bien sûr divulguer le lieu où il se trouve, et en la postant assez loin de l’endroit où il se cache, d’envoyer un texto rassurant à un proche, quitte à se débarrasser immédiatement après du téléphone pour ne pas laisser de trace, ou de passer par l’intermédiaire d’une tierce personne pour donner un signe de vie. Or, jusque-là, il n’a rien fait de tel. Ce n’est pas ainsi qu’il avait agi lors de ses précédentes cavales en 2008-2009 (en Belgique et en France) et de nouveau au printemps 2015 (en Flandre) avant de s’exiler en Angleterre, le 16 juin 2015. 

QUE SAVONS-NOUS de certain ou d’à peu près certain à ce jour ? La police britannique et Interpol (si c’est bien d’eux qu’il s’agit) ont sonné en bas de son domicile le lundi 25 octobre en milieu d’après-midi. Vincent descend l’escalier, ouvre la porte. Voyant les policiers lui indiquant qu’ils veulent parler à Vincent Reynouard, ce dernier décline une fausse identité, puis claque aussitôt la porte sur les policiers. La porte ne s’ouvrant pas de l’extérieur, cela laisse le temps à Vincent de remonter en toute hâte à son appartement, et même de téléphoner à 15h44 à un proche collaborateur, certainement pour le prévenir de la situation et peut-être l’appeler à l’aide. Las, ce dernier, qui est dans le train, n’entend pas l’appel. Vincent ne laisse pas de message vocal. Il n’a pas le temps. Il se saisit rapidement, semble-t-il, de l’argent liquide dont il dispose grâce à ses cours particuliers, laisse tout sur place (son téléphone, ses papiers d’identité, son permis de conduire, ses ordinateurs portables, ne prend pas de change). Entendant les policiers qui ont finalement réussi à ouvrir la porte d’entrée grimper quatre à quatre les marches d’escalier jusqu’au deuxième étage, il a tout juste le temps de fuir par la cour intérieure du petit immeuble qui donne sur une sortie à l’arrière du bâtiment de sorte qu’il a pu semer ses poursuivants. 

Une demi-heure plus tard à peine, l’ami s’apercevant que Vincent Reynouard l’a appelé, son numéro s’étant inscrit sur son portable en appel entrant, lui téléphone aussitôt. Cinq fois de suite. Les quatre premières fois, l’appel sonne dans le vide. Ce qui est logique puisque le téléphone a été laissé à l’appartement. Mais la cinquième fois, l’appel est rejeté. Manuellement. A cet instant-là, il y a donc quelqu’un à l’appartement. Qui ? Selon toute vraisemblance, la police qui était possiblement encore sur les lieux à ce moment-là. Mais pourquoi alors ne pas avoir répondu à l’appel ? C’est étonnant de la part de policiers qui poursuivent un fugitif et qui habituellement ne négligent aucune piste pour obtenir des renseignements, et surtout pas un appel téléphonique qui peut s’avérer déterminant. Plus étonnant encore, la police n’a rien pris dans l’appartement de Vincent. Ni les ordinateurs, ni le téléphone, ni les archives, ni les pièces d’identité. Tout a, semble-t-il, été laissé intact. Ce n’est pas là non plus dans les habitudes de la police de ne pas saisir les éventuelles pièces à conviction, de ne pas procéder à des fouilles méticuleuses du logement de la personne que l’on recherche, de ne pas saisir le matériel informatique ni le téléphone qui peuvent parfois donner de précieux renseignements.

ON A LE SENTIMENT qu’il y a des éléments manquants au puzzle. Quelque chose cloche dès le départ, suscite un malaise, légitime toutes les suspicions, autorise toutes les hypothèses. Est-on sûr d’abord qu’il s’agissait d’Interpol ? C’est en tout cas ce qu’a déclaré la propriétaire de l’appartement, répétant ce que lui avaient dit les (vrais ou faux) policiers britanniques. C’est ce qu’affirmait également Sarah Cattan dans son très long article du 3 novembre pour Tribune juive. Mais, quelques jours après, ce n’était déjà plus tout à fait la même version. Le compte Twitter intitulé Jugé coupable (qui est animé par le collectif anonyme BTA : Balance ton antisémite) indiquait soudainement que « Vincent Reynouard n’a pas de notice rouge d’Interpol », contrairement par exemple à Boris Le Lay exilé au Japon depuis 2014, ce qui laissait entendre que ce n’est pas forcément Interpol qui a sonné le 25 octobre au bas de l’appartement loué par le militant révisionniste dans le Grand Londres. 

Mais si ce n’est pas Interpol, qui cela peut-il bien être ? La police britannique ? Peut-être, mais agissant à la demande de qui ? Dans quel cadre ? Sur quelle base légale ? Certes, à ce jour, Vincent Reynouard a été condamné en tout depuis son exil en Angleterre à 29 mois de prison ferme par des juridictions françaises pour avoir contrevenu à la loi Rocard-Fabius-Gayssot. Mais il n’y a pas actuellement d’équivalent de cette législation anti-révisionniste au Royaume-Uni. Comment peut-on donc motiver légalement une demande d’extradition ? Certes, comme le disait feu le professeur Robert Faurisson, « quand il s’agit de lutte contre le révisionnisme, il n’y a ni foi, ni loi, ni droit. Tout est permis. » La chasse au révisionniste est ouverte toute l’année, n’importe où, n’importe quand, n’importe comment. Au reste, les anonymes analphabètes et haineux de BTA ne se vantent-ils pas d’être des « chasseurs d’antisémites » ? Et manifestement leur chasse n’est pas réglementée. Elle n’est pas limitée à certains horaires et à une ou deux saisons dans l’année. Elle est permanente, sauvage et brutale, s’exerce de nuit comme de jour, ne s’encombre pas de respect des conventions, de la morale, de la probité et de la vérité. 

IL EST SOMME TOUTE très facile à quelqu’un de déterminé de se faire passer pour un policier sans l’être aucunement. Vincent Reynouard avait raconté en vidéo comment, il y a cinq ans environ, alors qu’il était déjà en Angleterre, deux hommes étaient venus intimider une personne de son entourage immédiat restée en France, comment ils l’avaient suivie la journée en voiture, puis comment ils l’avaient attendue devant la porte de son appartement, puis, à son arrivée dans le couloir, comment il l’avait forcée à leur ouvrir la porte et à leur communiquer sous la menace les coordonnées téléphoniques et l’adresse exacte du domicile de Vincent au Royaume-Uni. Et manifestement, ce soir-là, ce n’était pas la police. Les deux hommes n’ont d’ailleurs pas eu la politesse de se présenter ni de décliner leur identité. 

Plus étrange encore, Vincent avait raconté comment, une nuit, il y a un peu plus d’un an, des inconnus s’étaient introduits chez lui pendant son sommeil, au précédent domicile qu’il occupait près de Londres, et avaient, semble-t-il, fouillé dans ses affaires, ses archives, ses documents, comme s’ils recherchaient absolument quelque chose de précis, d’important, et étaient repartis. Il s’en était aperçu car il avait soigneusement fermé la porte avec un verrou la veille au soir, avant de se coucher, il s’en souvenait fort bien, or, la porte était ouverte au petit matin à son réveil ! 

On peut donc tout imaginer dans l’affaire présente, et plus le temps s’écoule, plus le silence devient assourdissant. Chaque jour qui passe nourrit le doute, accroît l’angoisse. Car si ce n’est ni Interpol, ni la police britannique qui a sonné chez lui ce jour-là, qui cela pouvait-il bien être ? Mais qui ? Serait-ce le fameux “qui” de Claude Posternak apostrophant le général Delawarde le 18 juin dernier sur CNews ? 

AU MOMENT OÙ il est parti en courant vers son destin le lundi 25 octobre vers 16 h. heure de Londres (17 h. heure de Paris), pour peut-être ne plus jamais réapparaître, Vincent mettait la dernière main à une étude approfondie et actualisée sur le drame d’Oradour-sur-Glane. Il s’apprêtait à me l’envoyer par courrier électronique comme mémoire en défense dans le cadre du procès qui m’était intenté deux jours plus tard, le 27 octobre, à la suite de la publication dans RIVAROL du 2 septembre 2020 d’un long article de deux pleines pages sur le tag inscrit sur le centre de la mémoire d’Oradour et sur l’hystérie que ce graffiti réalisé nuitamment, du 20 au 21 août 2020, avait suscitée dans la classe politico-médiatique. Vincent souhaitait en faire un livre détaillé avec force illustrations, un ouvrage sur le point d’être achevé dont il était heureux et fier et qu’il comptait absolument éditer et proposer à la vente avant Noël. Il avait, me confiait-il, fait des découvertes importantes, sinon sensationnelles, dont il était impatient et excité de faire connaître la teneur à ses lecteurs et qui, selon lui, étaient de nature à éclairer d’une lumière nouvelle toute cette ténébreuse affaire. Ce document ne m’a finalement jamais été communiqué, pas même par un intermédiaire ou au moyen de telle ou telle astuce, de tel ou tel artifice, de telle ou telle ruse dont Vincent n’est pourtant pas avare. 

Tout cela décidément ne lui ressemble pas, lui qui, travailleur acharné, et ne manquant jamais à ses promesses, a toujours fait l’impossible, remué ciel et terre, pour diffuser, publier, transmettre ses études, ses travaux, ses découvertes, ses intuitions, ses raisonnements, ses argumentaires par écrit et par vidéos. De manière tout aussi inexplicable, il n’a pas non plus prévenu, ni fait prévenir par un tiers, la grosse vingtaine d’élèves qu’il avait jusque-là en cours particuliers et qui se sont retrouvés du jour au lendemain sans leur professeur, et sans aucune nouvelle de lui, alors que les dates avaient été prises, les cours programmés, les rendez-vous confirmés. Non, décidément, cela ne lui ressemble pas. Certes, on conçoit parfaitement que les premiers jours d’une cavale, l’on pare au plus pressé et que la priorité soit de se cacher, de survivre et que l’on ne donne pas immédiatement de ses nouvelles. Peut-être ce silence prolongé s’explique-t-il seulement par sa prudence, sa crainte d’être repéré et appréhendé, un simple principe de précaution. Si l’on veut cultiver l’optimisme, c’est ce dont il faut essayer de se persuader. Mais, outre que cela n’est guère dans les habitudes de Vincent, et ne correspond nullement jusque-là à son mode opératoire, voilà maintenant un mois entier qu’il a disparu dans la nature sans laisser aucune trace, sans transmettre le moindre message, de manière directe ou indirecte, franche ou subliminale, de nature à rassurer sa famille, ses amis, ses proches, ses relations, sans donner le moindre signe de vie. Voilà qui nous plonge assurément dans un abîme de perplexité voire d’angoisse. Il est des silences qui, lorsqu’ils se prolongent, sont encore moins rassurants que le cliquetis des clés fermant à double tour la cellule d’un infortuné prisonnier.  […]"

Notre réponse à Fabrice "Jérôme Bourbon"

Angoissé, opprimé, tu peux effectivement envisager le pire. Rester sans donner signe de vie ne fait pas parti des habitudes de Vincent Reynouard. Parti sans papier et avec ses quelques sous, Reynouard ne peut pas aller bien loin. Peut être le retrouveras tu mort sous un pont, décomposé au fond d'une cave ? Avec Vincent tout est possible. 

Le temps est une lime qui travaille sans bruit et il joue en notre faveur. 
L'affaire Reynouard est désormais entre les mains de cellules compétentes...
Alors cher Fabrice à qui le tour maintenant ? 

BTA, des amis qui ne t'oublient pas .

Ps: Nous avons confié ton dossier aux équipes en charge de Vincent Reynouard. Avec un peu de chance vous pourriez partager la même cellule. 
LA BISE.


mardi 9 novembre 2021

Vincent Reynouard porté disparu !

PANIQUE CHEZ RIVAROL...

Le 25 octobre dernier la police anglaise se présentait au domicile de Vincent Reynouard à Footscray Road suite aux différents éléments que nous avons pu leur fournir . Vincent Reynouard  était enfin localisé . Un long travail de recherche et d'investigation nous menait jusqu'à lui . 

Il y a deux mois environ, nous contactions Reynouard via son numéro de téléphone laissé sur un site de petite annonce francophone 


 Nous désirions donner des cours de Mathématique à notre jeune fille ... le piège était en place ...... Vincent Reynouard était localisé. Il ne nous restait qu'à prévenir les autorités.....

Suite à notre article,Vincent Reynouard recherché par Interpol" du 31octobre https://www.balancetonantisemite.com/2021/10/vincent-reynouard-recherche-par-interpol.html

le 3 novembre, Tribune juive diffusait un long article intitulé " le militant négationniste Vincent Reynouard en fuite et recherché par Interpol ". Ce qui créa une véritable panique au sein de la fachosphère

Jérôme Bourbon devant un tel"acharnement de cette communauté" ne pouvait rester muet . Dans l'édition de son TORCHON ANTISEMITE "Rivarol" qui sortira mercredi 10 novembre ( malheureusement toujours en kiosque), ce dernier nous raconte la cavale de son ami Vincent Reynouard . Attention prenez vos pop corns.....


" Le 9 avril 2021, on s’en souvient, Le Monde publiait un article intitulé « Comment les enquêteurs français traquent bourreaux et criminels de guerre » et qui était consacré à l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, les génocides et les crimes de guerre, lequel mène des investigations au long cours. Après avoir parlé de sa dernière prise, un financier présumé du massacre des Tutsi au Rwanda, interpellé à Asnières en 2020, l’article évoquait, au détour d’une ligne, le cas de Vincent Reynouard. Quel crime contre l’humanité le militant révisionniste avait-il commis ? Eh bien voici : « L’Office, expliquait l’article du Monde, s’est enrichi récemment d’une autre mission. Confrontée à la prolifération des violations de cimetières juifs en Alsace, la direction de la gendarmerie a décidé de créer, en 2019, une petite cellule dédiée aux crimes de haine. Face au nombre des dossiers, elle est devenue dès août 2020, une division à part entière, forte de sept personnes. « Très longtemps, le mobile haineux n’était pas jugé déterminant dans le passage à l’acte, constate la lieutenante-colonelle Aurélie, 39 ans, cheffe de la division. Des tags nazis étaient traités comme des dégradations sans prendre en compte le contenu même du message. Il était juste considéré après coup comme une circonstance aggravante. Or, ce mobile est souvent central dans l’enquête. Il nécessite une sensibilité particulière, une prise de conscience du même ordre que pour les violences faites aux femmes. » (sic !) L’idée d’une continuité entre un internaute proférant des menaces de mort et un criminel de guerre s’est imposée. La division traite des infractions de droit commun en raison de l’appartenance de la victime à une ethnie, une nation, une race, une religion déterminée ou en raison de son orientation sexuelle. A compétence nationale, elle assure également son concours à des sections de recherche locales de la gendarmerie ou de la police. Elle peut être saisie par tous les parquets de France, mais travaille particulièrement avec le pôle parisien spécialisé dans la lutte contre la haine en ligne. Elle échange également avec les pays étrangers. « On ne peut plus penser franco-français quand les mouvements sont, eux, internationaux », justifie sa patronne, qui rappelle les camps d’entraînement de survivalistes français organisés en Hongrie ou en Ukraine. La division travaille ainsi sur les tags négationnistes badigeonnés en août 2020 sur le site d’Oradour. Elle tente d’obtenir l’extradition du Royaume-Uni du Français Vincent Reynouard, qui a pris la fuite après sa condamnation en novembre 2020 à quatre mois de prison pour négation de la Shoah (NDLR : c’est là une erreur du rédacteur. Vincent Reynouard est en effet au Royaume-Uni depuis le 16 juin 2015). Elle a participé à la condamnation d’un Allemand qui avait érigé sur sa propriété en Moselle une stèle à la gloire d’une division SS suspectée du massacre de Maillé, en Indre-et-Loire, le 25 août 1944. » 

RAPPELONS QUE, dans l’affaire Cassandre Fristot, le Parquet de Metz avait fait appel très officiellement à cette brigade de répression des crimes contre l’humanité pour la simple pancarte en carton portée le 7 août dernier par la jeune enseignante dans une manifestation contre la tyrannie sanitaire. On le voit, la réalité dépasse la fiction. Et en effet cet office spécialisé a, semble-t-il, fait preuve de zèle dans le dossier Reynouard puisqu’en effet, d’après nos informations dont nous sommes absolument sûrs de la véracité, des policiers britanniques et d’Interpol ont sonné le lundi 25 octobre vers 16 h. (heure de Londres, 17 h. heure de Paris) en bas de l’appartement qu’occupait Vincent Reynouard afin de l’appréhender et probablement d’engager contre lui une procédure d’extradition vers la France où il aurait dû purger 23 mois de prison ferme, sans compter d’éventuelles autres condamnations à venir puisqu’il existe encore diverses procédures en cours. "

IMAGINEZ DEUX MINUTES LA SCENE !!!!
Toujours, suivant les dires de Jérôme Bourbon:
"Chose incroyable, Vincent qui est très agile, habile et sportif (il fait régulièrement des kilomètres en vélo pour aller donner, sous une fausse identité, ses cours de mathématiques et de physique à tous ceux qui le lui demandent, y compris, ce qui est cocasse, des familles juives) a ouvert la porte aux policiers, et quand ceux-ci lui ont dit qu’ils venaient chercher Vincent Reynouard, ce dernier, après avoir décliné une fausse identité, s’est mis à courir de toutes ses forces, comme Forrest Gump, mais un Forrest ayant une cervelle, et a réussi par miracle à leur échapper en se cachant. Depuis, il est dans la nature et nous n’avons pas de ses nouvelles, si ce n’est qu’à notre connaissance, à l’heure où nous écrivons ces lignes, il semble toujours être en liberté. Une liberté évidemment toute relative puisqu’il est traqué comme une bête fauve. A l’instar du fugitif que le shérif poursuit et veut absolument retrouver, mort ou vif. C’est dire à quel point la répression s’aggrave et qu’elle est désormais mondiale. 
Et en effet cet office spécialisé a, semble-t-il, fait preuve de zèle dans le dossier Reynouard puisqu’en effet, d’après nos informations dont nous sommes absolument sûrs de la véracité, des policiers britanniques et d’Interpol ont sonné le lundi 25 octobre vers 16 h. (heure de Londres, 17 h. heure de Paris) en bas de l’appartement qu’occupait Vincent Reynouard afin de l’appréhender et probablement d’engager contre lui une procédure d’extradition vers la France où il aurait dû purger 23 mois de prison ferme, sans compter d’éventuelles autres condamnations à venir puisqu’il existe encore diverses procédures en cours. 
Chose incroyable, Vincent qui est très agile, habile et sportif (il fait régulièrement des kilomètres en vélo pour aller donner, sous une fausse identité, ses cours de mathématiques et de physique à tous ceux qui le lui demandent, y compris, ce qui est cocasse, des familles juives) a ouvert la porte aux policiers, et quand ceux-ci lui ont dit qu’ils venaient chercher Vincent Reynouard, ce dernier, après avoir décliné une fausse identité, s’est mis à courir de toutes ses forces, comme Forrest Gump, mais un Forrest ayant une cervelle, et a réussi par miracle à leur échapper en se cachant. Depuis, il est dans la nature et nous n’avons pas de ses nouvelles, si ce n’est qu’à notre connaissance, à l’heure où nous écrivons ces lignes, il semble toujours être en liberté."

Pour l'heure Reynouard est effectivement toujours en cavale ou peut être "tout simplement dans sa cave....
Pour 
Notre réponse au patron de RIVAROL
Nous ne retiendrons qu'une seule chose mon cher Fabrice(Bourbon), la peur a changé de camps. Tu t'inquiètes, tu me diras il y a de quoi . Grâce à nous tu as maintenant toutes les associations aux fesses. Fais comme Reynouard, fais du sport, à moins que tu sois près à t'assoir sur tes privilèges afin d'assumer tes idées, tu pourras ainsi pleurer et t'ériger en "martyr"... 

Comme pour Reynouard, mon cher Fabrice nous tiendrons notre parole. 
La Licra, Le Bnvca, J 'Accuse, L'OJE, La Dilcrha, L'OJF aussi.

LA BISE. BTA







mercredi 3 novembre 2021

Le révisionniste Vincent Reynouard en fuite et recherché par Interpol


L’historien révisionniste français du troisième Reich et de l’holocauste, Vincent Reynouard, est recherché par Interpol au Royaume-Uni.

Les amis et soutiens du garçon voient là encore un effet de cette haine juive sans limites, – bientôt une persécution – et se plaignent de cette nouvelle épreuve infligée à Reynouard qui était en fuite pour échapper aux tribunaux rabbiniques. ( sic )

En hashtags accompagnant leurs pleurs et leurs affirmations selon lesquelles plusieurs voies juives demanderaient l’extradition de notre homme en Israël pour qu’il soit jugé et condamné comme l’avait été de son temps Adolf Eichmann, nous trouvons évidemment … # Shoah # Juifs # Youtres # BTA.

Vincent Reynouard est en cavale. D’après de nombreuses sources concordantes, le négationniste aurait pris, à moitié dévêtu, la fuite pour échapper une nouvelle fois à la justice. Souvenez-vous : entendu devant la 17e chambre correctionnelle pour répondre de plusieurs plaintes, Jérôme bourbon la semaine dernière n’avait-il pas déclaré devant le juge ne pas vouloir finir comme Reynouard, qui en début de semaine se serait enfui alors qu’Interpol arrivait chez lui pour le … cueillir.


Une demande d’extradition à l’encontre du négationniste

La procédure d’extradition comporte plusieurs étapes : arrestation du suspect, procédure diplomatique, procédure judiciaire, et au sein de l’Union européenne, les Etats ont mis en place une procédure accélérée d’extradition : le mandat d’arrêt européen.

Exilé depuis plusieurs années à Londres, qu’il n’a évidemment pas choisi par hasard, Vincent Reynouard s’est assuré de ne s’y voir nullement inquiété par la justice britannique, alors même qu’il poursuit la diffusion quotidienne de ses thèses négationnistes et antisémites via ses différentes plates-formes, GabOdyssée, et à nouveau YouTube d’où il fut un temps exclu.

Tous nous nous souvenons de cette photo du Prince Harry à la Une du Sun, en 2005, habit nazi et swastika au bras, prise à l’occasion d’un bal costumé au thème douteux et pour lequel le Prince choisit cette tenue de l’Afrikakorps, troupes d’Hitler engagées dans les campagnes en Libye et en Afrique du Nord durant la seconde guerre mondiale.

Pour rappel, Outre-Manche, le révisionnisme et le négationnisme ne sont pas un délit, et en droit britannique, c’est même à l’accusé d’apporter la preuve de ce qu’il dit dans des procès pour diffamations en matière du négationnisme : nul n’a oublié l’universitaire américaine Deborah Lipstadt, traînée au tribunal par Irving en 1996, et qui avait été sommée … de prouver … l’existence de l’Holocauste.

À Londres, donc, notre homme dispense des cours particuliers de mathématiques, physique et chimie. C’est ainsi que l’équipe de BTA l’a retrouvé, grâce au site FranceinLondon.com, où une petite annonce déposée par un certain Valentin Vincent, et accompagnée de la photo dudit Reynouard, a permis de le localiser géographiquement, infos d’importance transmises à qui de droit.

Pour la petite histoire, alors qu’un parallèle a été récemment fait entre la vie de Reynouard et le film récent L’homme de la cave, les Editions Critias décidèrent de partir en Angleterre à la rencontre de cet homme qui aurait inspiré L’homme de la cave. Cela a donné un reportage nous montrant un Vincent Reynouard recevant chez lui, se livrant sans masque et dévoilant des conditions de vie surprenantes : l’intéressé ne se considère pas tel L’homme de la cave, reclus chez lui : s’il fait visiter son antre, quelque 12 m² qu’il compare aux 9 m² de cellule de prison, un lieu crasse où s’entassent les livres chers à son obsession pathologique, s’il montre sans complexe ce futon qui lui sert de lit, s’il raconte manger à même la casserole, il explique cependant sortir librement, donner des cours à Londres et, écoutez bien : Même chez les juifs, ces gens-là qui payent rubis sur l’ongle… D’ailleurs, à la question qui lui est posée sur un quelconque antisémitisme de sa part, il répond : Moi je suis judéo- indifférent. On apprendra encore qu’il a proposé récemment une rencontre débat avec Ginette Kolinka, et que, concernant la comparution au tribunal de Jérôme bourbon, c’est lui qui avait préparé un mémoire sur Oradour. Si sa rengaine est : Moi je milite pour la vérité historique, il admet tout de même craindre …l’extradition…


Pour rafraîchir les mémoires, rappelons que Vincent Reynouard, antisémite patenté, militant négationniste français, intégriste catholique se réclamant de l’idéologie national-socialiste, tombé in love d’Hitler lorsqu’il était ado, s’investira logiquement, une fois étudiant, dans la diffusion de la propagande faurissonienne.

Reynouard, c’est encore cet humour particulier qui fait dire à l’invité d’honneur au Banquet[1] des 60 ans et du 3000e numéro de RivarolVous me traitez de néonazi. Moi, je dis pourquoi néo ?

C’est aussi le mec réfugié comme ses pairs sur VK pour y poster ses plaidoyers pour Hitler et autres fadaises.

Alors qu’il a fondé avec deux amis l’association Amnistie nationale pour les internés et victimes de la loi Gayssot, on le retrouvera condamné par la Cour d’appel de Caen à un mois d’emprisonnement avec sursis et à 5 000 francs d’amende pour contestation de l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité : il avait juste adressé aux vingt-quatre élèves d’un lycée, lauréats du concours Résistance et Déportation, des lettres anonymes auxquelles était annexée la photocopie d’écrits contestant l’existence des chambres à gaz en Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale.

Prof de maths, il est révoqué de l’Éducation nationale pour avoir conservé dans un ordinateur de son lycée des documents niant la Shoah, mais aussi pour avoir distribué à des élèves un exercice sur les statistiques de mortalité à Dachau.

Il a encore participé au livre Le Massacre d’Oradour, dont le propos prétend innocenter les Waffen SS du massacre d’Oradour-sur-Glane.

La Cour d’appel de Limoges le condamne à vingt-quatre mois de prison, dont six fermes, pour apologie de crimes de guerre, mais il est sauvé par la Cour de cassation, laquelle casse cet arrêt en 2005 au prétexte que les faits reprochés ne constituaient pas une apologie de crimes de guerre mais une simple contestation de crimes de guerre, laquelle n’est pas réprimée par la loi.

Le voilà en Belgique. Il y crée, entre autres, la branche française d’une maison d’édition néonazie en 2006. Il est arrêté lors d’un déplacement en France. Rivarol le soutient.

Le voilà cette fois condamné à un an de prison et 10 000 € d’amende pour contestation de crimes contre l’humanité, et pour avoir écrit et fait distribuer auprès de musées, de syndicats d’initiative et de mairies d’Alsace la brochure Holocaustece que l’on vous cache.

Arrestation. Le voilà extradé vers la France : il sera incarcéré.

Un comité de soutien et un site web[2] sont créés : Faurisson et sa sœur Yvonne Schleiter y relaient les messages de Reynouard, des thèses ouvertement favorables à Hitler.

Une pétition pour l’abrogation de la loi Gayssot et la libération de Vincent Reynouard est lancée : il ne s’agit pas, pour les signataires de cette pétition de soutenir les idées de Vincent Reynouard mais de défendre son droit à les exprimer. Noam Chomsky mais encore Bruno Gollnisch ou Alain Soral font partie des signataires. Y a aussi Robert Ménard. Puis d’autres. Puis d’autres encore qui finirent par se rétracter.

Libéré, notre homme restera sous contrôle judiciaire. Il est sous le coup d’une autre procédure pour la diffusion à cent vingt lycées de cédéroms négationnistes en 2009.

Il écrit. Dans Rivarol. Il crée un site négationniste : phdnm.org Pour une Histoire Débarrassée des Nombreux Mensonges.

Il y propose 5 000 € à quiconque lui démontrera, au terme d’un débat libre, loyal et courtois que les chambres à gaz homicides hitlériennes ne sont pas un mythe de propagande.

Il croit n’avoir point besoin d’avocat et se prend deux ans de prison ferme pour avoir diffusé sur son site des vidéos arguant que les commémorations du 70e anniversaire du débarquement en Normandie relevaient de la propagande et niant à nouveau l’existence des crimes nazis. Ladite peine excédant les plafonds prévus par la loi sera commuée en une peine d’un an de prison ferme.

Le revoilà condamné, mais continuant à répéter à l’envi que la Shoah, c’est rien que du baratin.

Réfugié sur VK, il y explique que l’euthanasie des dizaines de milliers d’handicapés sous Hitler avait des raisons humanitaires.

Enfin, celui qui s’insurge contre l’acharnement de ses adversaires, suite à ce qu’il appelle Les dramatiques événements survenus à Gaza, cite Rivarol : 1948-2018 : Noces de sang pour Israël. La religion de la Shoah assure l’impunité à Israël, conclut-il, sans renouveler le genre.

Gageons que ce fanatique nazi raté, un brin looser, un brin allumé, arguant qu’il n’a pas d’ennemis ici-bas et que plus tard dans l’au-delà, nous nous taperons tous sur l’épaule, sera vite extradé. Balance Ton Antisémite a une fois encore bien œuvré, de concert avec antisemitism.org et Gideon Falter.

Sarah Cattan