Pourquoi Danièle Obono devrait être placée dans un cadre médical de soins ?
Mme Obono présente des signes de dissociation cognitive manifeste entre les faits historiques établis (la Shoah, l’antisémitisme millénaire) et la grille de lecture qu’elle impose publiquement :
Inversion des responsabilités,
Relativisation des crimes antijuifs,
Confusion entre antisionisme militant et haine antijuive,
Refus des cadres mémoriels universels au profit de récits communautaires cloisonnés.
👉 Cette dissociation pourrait relever d’un trouble idéologique sévère ou d’une personnalité enfermée dans une pensée délirante rationalisée.
Discours clivant aux conséquences psychotoxiques sur le tissu social
Les propos de Mme Obono ont pour effet :
D’exacerber les tensions communautaires,
De fracturer la mémoire nationale,
D’alimenter des justifications indirectes à la haine antijuive, sous couvert de militantisme anti-impérialiste.
👉 Cela pose un risque collectif de désintégration symbolique, qui dans d'autres contextes relèverait d'une forme de dangerosité sociale indirecte.
Déni de réalité historique et psychique
Lorsqu’une élue nie ou minimise la centralité de la Shoah dans la conscience républicaine, tout en promouvant des récits alternatifs déformés (voire complotistes), on peut légitimement interroger :
Son rapport à la vérité,
Son seuil de tolérance à la violence symbolique,
Sa capacité à représenter l’ensemble de la population, y compris les minorités juives.
👉 Ce type de déni, lorsqu’il est chronique et militant, peut être interprété comme un mécanisme de défense pathologique.
➤ Et à ce niveau d’exposition, il mérite une évaluation psychiatrique.
📌 Conclusion :
Ce n’est pas par vengeance qu’on appelle à un cadre médical.
C’est pour limiter les effets destructeurs d’une pensée qui, sous couvert d’intellect et de justice sociale,
reproduit les ressorts les plus anciens du délire collectif.
BTA